Kill em' on ice T.1 & T.2

Chapitre 10

Érine

Ce matin je me réveille assez tôt pour aller faire un petit footing, je me lève et enfile des vêtements de sport, je prendrais ma douche à mon retour, je met un casque sur mes oreilles et connecté mon téléphone en bluetooth.

Je met les meilleures musiques de Justin Bieber et je sors de la maison pour aller courir en repensant à hier.

Je ne comprends pas comment ce mec peut me faire ressentir autant d'émotions. Hier ce baiser paraîssais tellement naturel et non dicter par les envies de mon père qu'il m'a fait échapper à la réalité pendant un petit moment.

On ment tellement que je commence à me perdre dans mes sentiments et je ne sais plus ce qui est vrai ou faux.

Je n'ai pas compris sa réaction après notre baiser, il faisais que regarder autour de lui comme si il se sentais surveillais, d'ailleurs je n'ai rien dis mais ça m'angoisser.

Je suis en train de courir sur la plage et je suis retiré hors de mes pensées par des passants qui passent à côté de moi.

Je regarde l'heure et je penses qu'il serais temps de faire demi tour pour avoir le temps de me doucher avant d'aller à l'entraînement.

Je cours tranquillement vers la maison, je ne suis plus très loin mais je ne suis pas rassurer, j'ai le sentiment d'être suivie donc je me retourne toutes les cinq secondes, je cours donc plus vite et je fais mon meilleur sprint jusqu'à la maison.

Une fois à la maison je prends une douche rapide et je me dépêche d'aller à la patinoire une fois habillée et avec toutes mes affaires en main.

Je viens d'arrivée sur le parking je me penche pour prendre mon sac d'entraînement sur la moquette au pieds du siège passager et je sursaute quand j'entends toquer contre ma fenêtre.

-Abriel ! Tu m'as fais peur.
-Qu'est ce qui t'arrives tu sursaute jamais d'habitude.
-C'est surtout que d'habitude tu frappe pas à mon carreau.
-C'est vrai... Mais bon n'oublie pas on est le couplé le plus beau et le plus intéressant du patinage.
-Mais oui bien sûr, fais attention aux flebites mon pote.
-Hmm... Alors qu'est ce qui te fais peur ? C'est mon corps d'Apollon ?
-N'importe quoi, j'ai pas peur, c'est juste que depuis que j'ai était courir ce matin j'ai le sentiment d'être suivis, mais c'est pas grave c'est juste un sentiment comme ça.
-Oui, ça finira par s'estomper, aller viens on y va.

On entre tous les deux dans la salle, il me dis que c'est pas grave mais il a quand même jeter un regard furtif derrière moi même si il crois que je ne l'ai pas vu.

On va chacun dans nos vestiaires et on se change pour mettre notre tenue de danse pour les portés et réviser les pas qu'il y a entre deux.

J'allais vers la salle de danse quand j'entends des légers cris, ça viens du bureau de Clara.

-Comment tu peux faire ça ?!
-On était pas un couple Carla, je penser pas que je devrais t'expliquer le sens de plan cul.
-Si on était pas en couplé pourquoi tu veux arrêter. T'es amoureux d'elle ou quoi ?!
-Non, je suis pas amoureux d'elle, pour dire elle ne m'intéresse même pas -outch, j'ai pas pas demander à me prendre une balle perdu comme ça... Par contre toi t'es jalouse d'elle et de sa vie.
-Pourquoi je serais jalouse d'elle ?
-Parce qu'elle patine avec moi, elle est belle, elle est intelligente et grave à son père et son talent en patinage elle a la popularité que tu n'aura jamais.

Je m'attendais pas à ce qu'il dise des mots gentils sur moi...

-Si tu arrêtes ce qu'il y a entre nous je vais voir les journalistes pour leurs raconter ce qui ce passais entre nous.
-Déjà il ne se passer rien du tout...
-A quelques coups de rein près.
-Laisse moi finir, et c'est quoi cette façon de parler encore quelque chose qu'Érine à en plus de toi, quand elle parle elle est classe.
-Ça va être elle maintenant ton plan cul ? Après tout ça t'arrangerais vu que vous devez jouer le parfait petit couple !
-Tu t'égares la... Si tu dis un seul mots tu sais que Vincent et mon père n'hésiterais pas à t'écraser comme le moustique que tu es et tu peux dire au revoir à ton job dans le patinage, tu ne verras plus jamais la glace de ta vie à part celle de ton congélateur pour pleurer toutes les larmes de ton corps.