𝐖𝐞'𝐥𝐥 𝐒𝐮𝐫𝐯𝐢𝐯𝐞 [𝙺𝚒𝚍𝚍𝙻𝚊𝚠]

17- La Légende du D.

Hellooo ! Comment que ça va ? :D (j'essaye de revenir comme une fleur après 6 mois (trop de mois) de...néant :'D me frappez pas svp)

Mais le voilà ce chapitre 17 dont j'ai tant parlé et tant teasé le script !

J'espère que cette notification vous comble de joie et que surtout vous allez prendre votre temps pour le lire parce que j'ai pas dosé. Genre vraiment pas. :')
(J'espère comme ça, réussir à avoir votre pardon. A la base il aurait dû être plus long mais j'ai raccourci à la demande de certains :'))

De toute manière vous verrez le nombre de mots à la fin du chapitre, j'ai battu un nouveau record en tout cas et ça me rend fière x)

Ce chapitre est sous le point de vu de Law et il va enfin peut-être répondre à certaines questions de quelques uns parmis vous qui m'avaient fait quelques hypothèses :)

De toute manière, rien que le titre de ce chapitre devrait vous mettre la puce à l'oreille ;)

Je vous souhaite une très belle lecture et j'espère que vous êtes bien installés pour savourer ce chapitre x)

(J'espère être plus à l'heure, les jours (peut-être plus les mois) à venir :D)

On se retrouve à la fin <3

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Encore une fois, me revoilà au cœur de cette fameuse tempête de neige qui annonce toujours un mauvais songe à venir. Les flocons dansent autour de moi, mes cheveux sont sauvagement ébouriffés par le vent et une chair de poule me fait frissonner de la tête aux pieds, alors qu'une boule d'angoisse s'installe au fond de ma gorge. J'ai froid, la basse température environnante me donne la chair de poule, des frissons d'effroi me prenant alors que je ne peux toujours pas bouger et que je suis obligé de regarder une scène d'un de mes très vieux souvenirs qui apparaît devant moi. La peur fait battre mon cœur désormais affolé.

Quel souvenir traumatisant mon cerveau va de nouveau me montrer ?

Légèrement flou, il devient lentement de plus en plus net. Dans l'obscurité de ce songe, je peux deviner la silhouette imposante et sombre de Rosinante près d'un feu de camp de fortune. Mon petit moi est tenu au chaud dans les pans épais et doux de son énorme manteau de plumes couleur encre et cette fidèle casquette tachetée un peu trop grande pour sa tête lui est enfoncée jusqu'aux oreilles. Ma gorge nouée m'empêche de crier ou hurler quoi que ce soit à Cora. Comme d'habitude, le silence est roi dans l'immensité de mon subconscient.

Quelques flocons tombent sur la scène la rendant belle. Pure...Tandis qu'un joli fredonnement s'élève dans les ténèbres de la nuit. Doux et clair.