Deux camps ennemis, un amour interdit, ils feront tous pour sauver leur monde de la chute.
Plagiat interdit 🚫
Je suis responsable de se que j'écris, pas de ce que vous lisez 🚫
Bonne lecture 💜
La fraîcheur du matin me fit frissonner à travers mes draps, l'enfer c'était tu comme un flocon qui fondait. J'ouvris les yeux et un plafond en bois m'accueillis, je tournais la tête pour découvrir une petite maison chaleureuse qui se réchauffais grâce à un feu de bois dans la cheminée. Je me levais en grimaçant sous l'effort, je découvris des pansements qui enserrais mon corps. J'appuyais mon dos contre le coussin pour mieux visualiser la cabane. Quand tu entrais dedans, tu avais à droite un espace pour la cuisine et à gauche un grand lit sur lequel j'étais assis. En face de mon lit se trouvais la cheminée et en face de la porte se trouvais un couloir qui menait sûrement vers les autres pièces de la maison. Soudain la porte d'entrée s'ouvrît pour découvrir un visage familier, celui de Dabi. Il vit que j'étais réveillé et s' approcha, je reculais instinctivement. Il me regarda avec une infime tristesse dans les yeux.
Dabi: Je ne te ferais pas de mal.
Dit il, je l'observais quelque seconde et me re décala de quelque millimètres vers lui pour l'y autoriser. Il s'approcha et s'assis sur le bord du lit, sans me regarder il me dit.
Dabi: Comment tu te sens ?
Hawks:...bien...
Dabi: Pour ton information je t'ai transporté ici pour que les psychopathes ne vienne pas te tuer.
Hawks: Du coup tu n'étais pas un psychopathe ?
Dabi:.....
Hawks: Alors pourquoi tu m'a aidé ?
Dabi:...parce que je t'apprécie ?
Dabi:........
Hawks: Changeons de sujet. Où est ce que je suis ?
Dabi: Dans la forêt d'Aokigahara et là tu es dans un chalet, seul Mister Compress est au courant et je lui ai dit d'annuler la phase 2 .
Hawks: La phase 2 ?
Il ne bougea plus pendant un instant puis me raconta tout. Mais tout sur tout parce qu'il me raconta son passé et son but dans la vie.
Hawks: Mais même si tu « m'apprécie » je faisais équipe avec ton père et si ton but dans ta vie c'était de détruire la sienne tu pouvais t'occuper de ses amis genre moi.
Dabi: Le problème c'est qu'il est mort du coup ma vie n'avais plus de but sauf que tu es apparut...
Hawks: Et bah tu n'as pas du apprécier beaucoup de monde dans ta vie.
Dabi: Est ce que tu as faim ?
Hawks: Une faim de loup !
Il se dirigea vers la cuisine et commença à s'exercer. Puis il passa la tête à travers la porte et dit.
Dabi: Tu sais cuisiner ?
Je pouffais, il était sérieux ? Le grand Dabi ne savais pas cuisiner ? Le problème était que je ne savais pas si je pouvais marcher. Il le remarqua sûrement car il s'avança et me porta comme une princesse ! J'étais beaucoup trop proche de lui et ça me mettait mal à l'aise. Je détournais la tête vers le plan de travaille pour qu'il ne me voit pas car je surchauffais de l'intérieur. Une heure plus tard les lasagnes étaient prêtes et je les dévorais sous ses yeux,
N:auteure: info inutile: c'est mon plat préféré (même avant la pizza !)🍕
il éclata de rire. Je l'observa et surpris par le timbre de sa voix et par la chaleur qu'il émettait dans son rire. C'était la première fois que je le voyais rire et ça me faisais de l'effet car quand il arrêta de rire pour voir que je l'observais, je rougis. Décidément ça n'arrêtait pas aujourd'hui !
Ensuite je fis la sieste la plus reposante que je n'avais jamais faite. Le soir arriva plus rapidement que prévu, Dabi arriva vers moi et me demanda.
Dabi: Est ce que tu peux marcher?
Hawks: Oui je pense pourquoi ?
Dabi: Suis-moi.
Quelque minute après j'étais prêt à le suivre et nous commençâmes la marche nocturne vers une destination inconnue. Après une heure de marche bien ferme nous arrivâmes sur un plateau désert, je m'approchais, essoufflé et leva les yeux. Ce que je vis me coupa le souffle. La ville de nuit paraissait si petite de là où on était. Elle brillait de mille feux comme les étoiles qui ornait le ciel. Le spectacle était époustouflant, je tournais la tête et le vis contempler, lui aussi, la ville avec des étoiles plein les yeux. Le tableau qu' il représentait était tellement beau que je sentis une chaleur dans ma poitrine. Je le contempla, pas la ville, mais lui contemplant la ville. Il était lui aussi tellement époustouflé qu'un petit sourire illumina son visage. Ma bouche s'entrouvrit de surprise et mes yeux s'écarquillèrent. Il tourna la tête et me contempla lui aussi, les yeux grand ouvert et un sourire aux lèvres . C'est alors que des feux d'artifices éclatèrent, surpris de voir à quel point le temps c'était écoulé pendant mon sommeil, le nouvel an était déjà là. Mais mes yeux ne voulait pas quitter les siens, une pensée improbable me vint. Il est beau me dis-je. Plus beau que les feux qui illuminait le ciel. Je pris conscience de ce que j'avais pensé et détourna la tête, gêné. Je regarda les feux d'artifice se mouvoir dans la nuit noir, je commençais à frissonner, le froid avait pris place sur chaque parcelle de ma peau et je pouvais voir de la fumée s'échapper de ma bouche, je n'avais pas pensé à prendre de manteau. Soudain, je sentis un tissu recouvrir mes épaules et s'enrouler autour de mes bras, je tournais la tête pour voir Dabi se démunir de son sweat , je l'interrogeai du regard. Et toi, tu vas prendre froid ! Il me regarda avec un air de défi et se retourna pour commencer à redescendre le flanc de la montagne. Je courrais et lui sautais dessus.
Dabi: Eeeh ! Tu es lourd !
Je lui rendis son regard de défit. Il s'arrêta, m'installa mieux sur son dos et repris sa marche. Son contact était présent sur chaque partie de mon corps. Ses mains sous mes cuisses, ses cheveux dans mon visage, et son dos contre ........ ! Je rougis violemment et essayait de penser à autre chose, il manquerait plus que ma chose se mette à se lever juste pour un contact ! Je me répétait.
Il y a les vêtements, il y a les vêtements...
Je ne me souvint pas de la suite car je m'étais sûrement endormi sur son dos.
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