Chapitre 4 : Banal

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La vie...

C'est un ensemble des conditions, en particulier matérielles, dans lesquelles on passe son existence.

Ou bien : Vivre, c'est vouloir ne pas mourir.

Me diriez-vous...

Hors, à cette période de ma vie, vivre signifiait : argent.

Quelques années plus tard, j'avais sombré dans l'argent...

Je ne travaillais plus à la mafia.

Et je bossais dans un coin populaire

Burn-out a la mafia ?

Mm ouais on peut dire ça...

Flashback :

« Oh putain, le prix de mon loyer a encore augmenté »
dis je en frappant mon mur

Je ne gagnais plus d'argent comme avant.

C'est vrai... J'étais de moins en moins productive à la mafia.

Mais baisser mon salaire de 15 568,00¥ ( 100€ ) et augmenter de 15 568,00¥ le prix de mon loyer c'est abusé...

Fin Flashback :

J'ai tout arrêté...

Chercher un autre taf qui payait plus et qui me faisait dormir la nuit, était peut être la meilleure décision
de ma vie.

Bon, mon métier actuel...

J'en passe hein

En vrai le club où je travaillais était un simple bar, ou des vieux venaient voir des filles danser et se bourrer la gueule.

Je travaillais au bar en tant que serveuse, c'était un café chic qui faisait également office de club de strip... Je gagnais 155 703,12¥ (1000€) la semaine.

Pour vous dire à quel point, ils avaient les moyens.

-

En plein cœur de Yokohama je marchais en direction de la fameuse boutique Louis Vuitton.

Un nouveau sac de la bas :)

~

En marchant, quelqu'un me bouscula.

-Pardon, excusez moi.
dis je avec une voix douce ( sans doute l'habitude avec mes clients )

La personne ne me répondait pas...

Je décida alors de laisser tomber et de partir.

Mais la personne me tenait par le bras, en recouvrant mes mains.

Et je fus soudainement encerclée par des milliers d'hommes avec des pistolets.

Je re regarda mes mains, sans rien faire

Car oui, mon point faible, c'est mes mains.

Pour activer mon pouvoir je dois me servir de mes mains.

L'ennemi devait connaître mon pouvoir...

-T/n T/p, suivez nous.
dirent ils

Sans broncher je les suivis (rip le sac lv que j'ai pas pu acheter)

-Heum... Vous pouvez m'éclairer genre qu'est ce que je fais ici?
demandai je un peu dans l'incompréhension

-Taisez-vous !

-D'accord ?
dis je en faisant durer le « o »

-M.Nakahara, c'est nous ! Nous pouvons entrer?

« Quel culot ce type je t'assures »

-Entrez!

J'entra dans la pièce et vit ???

Vent d'étéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant