Une jeune fille , passionnée par le sport. Je m'appelle Aïna Baeza et même si mon prénom signifie «amour» je penses qu'il m'a était mal choisi, après de nombreuses déceptions amoureuses et un père violent je ne crois plus en mon prénom enfin , je n...
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- dis moi que c'est une mauvaise blague ?
- non je suis désolée Aïna.
Je vois le désespoir dans sa voix et sa me transperce le cœur.
- demain c'est férié et après 2 jours de cours et nous sommes en grande vacances. Dit-il.
- d'accord.
Je vois bien qu'il essaie de changer de sujet mais je crois que je n'es pas envie de faire comme si de rien était.
- je vais y aller , je vais te laisser tranquille. Dit-il.
- non ! Dis-je en tenant son poignet , les larmes coulent sur mes joues. S'il te plaît reste avec moi cette nuit.
- d'accord Aïna.
Je pars me changer et une fois en pyjama je m'installe dans mon lit , il me rejoint il est torse nu et porte un short nike.
- je peux ? Dis-je en approchant mon visage rouge de son torse.
- oui vas-y.
Je m'installe donc sur son torse doux et tatoué, il commence à me faire des caresses dans les cheveux pendant que mes larmes coulent sur sa peau lisse et les bosses de ses abdos.
- n'es pas peur Aïna , je suis là.
Cette phrase me rassure , je ne serais dire pourquoi .
- il faut que tu dormes. Dit-il.
- oui , bonne nuit et merci Harsa. Dis-je en larme.
Il prend son pouce et les essuies toutes une par une.
- se n'est rien.
Sur sa je m'endors contre son torse et ses mains caressants mes cheveux.
Mais dans la nuit je fais un cauchemar, je vois la scène où mon père m'entaille la cuisse , je vois cette horreur en boucle , je sens la douleur du bout de verre qui pénètre ma cuisse et du regard d'espérer de ma mère , de quand il est venu s'excuser en nous promettant de ne pas recommencer. Je me réveille en sursaut et Harsa me sert contre lui , nous sommes donc assit et je suis dans ses bras , mon cœur bat très vite est ma respiration aussi j'inspire et expire très mal.
- c'est rien princesse , respire avec moi . C'était juste un cauchemar je suis là. Dit-il en prenant ma main et en la posant sur son torse pour que je suives les battements de son cœur.
Je me remet à pleurer , cette fois pas parce que je suis triste mais plutôt ému de se que fait Harsa pour moi. Une fois la crise d'angoisse terminé je lance :
- je suis désolé , c'est tellement ridicule. Dis-je.
- non absolument pas ! J'en ai fait pendant très long par rapport à ma soeur.
- je ne savais pas désolé.
- c'est rien.
Nous nous rallongeons , je m'installe de nouveau sur son torse.
