Une jeune fille , passionnée par le sport. Je m'appelle Aïna Baeza et même si mon prénom signifie «amour» je penses qu'il m'a était mal choisi, après de nombreuses déceptions amoureuses et un père violent je ne crois plus en mon prénom enfin , je n...
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Le vole c'est super bien passé.
J'ai cru exploser dans l'avion tellement j'étais pressé d'arriver.
Je cours dans tous les recoins de ce putain d'aéroport il est géant mais je ne peux plus attendre. Puis tout à coup, je vois Harsa au loin.
Sans réfléchir je cours vers lui bousculant tout se qui se trouve au milieu de mon chemin , des valises ou même des gens.
J'ai l'impression que ma course dure une éternité.
Je saute dans ses bras et entour sa taille de mes jambes.
- putain. Dis-je en pleurant
Et pour la première fois de ma vie je vois une putain de larme sur la joue de HARSA BENAVENTE.
Il retire les miennes d'un revers de la main.
- putain tu me rend fou , je n'avais pas pleuré depuis ma soeur et bordel sa fait du bien.
Mon regard ne ment pas , quand je le vois les étoilés remplissent mes yeux.
Je l'embrasse alors sauvagement , sa bouche et autant humide que le mienne , nos langues fusionnent et je retrouve enfin son putain de goût.
- aucun mot ne sera assez grand pour te dire mon amour mais mes coups de reins si. Chuchote Harsa à mon oreille.
Je tape du poing sur son torse dur et il rigole.
- tu vois Aïna je savais déjà par photo qu'il était sexy. Dit une voix que je connais trop bien.
- DILAN !
Il se trouve la , à côté d'Harsa et moi.
- tu vois il craque plus pour toi que pour moi. Chuchotais-je à l'oreille d'Harsa.
- je ne voulais pas rater ton anniversaire et , il s'avère que ta mère a beaucoup trop aimer ma chemise et m'a invité.
Je descend alors des bras de ma mère et la serre fort dans mes bras.
- merci.
- de rien ma puce.
- bon on rentre se préparer ? Demande Harsa.
- oui. Rétorque ma mère enthousiaste.
Nous entrons dans la voiture ou ma mère insiste pour conduire , Dilan est partit en taxi à son hôtel pour se préparer je me retrouve donc sur la banquette arrière avec Harsa.
- tu veux voir ton premier cadeau ?
- oui ! Lui dis-je.
Il relève donc la manche de son teeshirt, je ne comprend rien jusqu'à voir apparaître une phrase en espagnol.
« avant elle c'était l'enfer »
Suivie du même cœur qui se trouve sur mon collier.
