- 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝟷𝟸-

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Le corps s'en va sous un drap noir

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Le corps s'en va sous un drap noir.

Je ne peux imaginer ma vie sans se connard pour me la rendre plus dure.

Il était quand même assez drôle et cela va me manquer.

Il va me manquer.

Harsa est , mon plus grand désir, mon plus grand fantasme.

Même si je ne serais dire se que je ressent pour lui , un mélange de haine et d'amour , une combine très étrange d'ailleurs, quand je le vois un goût amer remonte dans ma gorge mais une chaleur s'empare de mon bas ventre.
Harsa , je te voulais , je te voudrais et je te veux.

- Harsa.. chuchotais-je en boucle en espérant pouvoir le réanimer.

Ce qui marche d'ailleurs.

- je suis là princesse. Chuchote sa voix à mon oreille.

Je me retrouve brusquement et le vois , la , bien vivant en face de moi , il est blessé, la lèvre entaillée et le torse remplie d'égratignures.

Cela ne me semble pas réel , mais alors ?
Qui est sous le drap ?
Les pompiers le relève et je vois apparaître Aurore , notre voisine qui est âgée de 92 ans.

D'après le témoignage de mon père elle était je site sur son chemin.
La pauvre voulait seulement se rendre au Supermarché.

Je saute dans les bras d'Harsa pour le sentir contre moi , je veux sentir son cœur battre sous mon oreille.
C'est peux-être légèrement égoïste envers Aurore mais , elle était vielle après tout.

- j'ai cru que tu étais mort Harsa. Chuchotais-je.

- non je ne t'épargnerait pas de moi aussi facilement mon ange.

Je souris du fait qu'il est repris mon surnom.

- laisse moi te soigner. Chuchotais-je.

Nous montons dans sa chambre , il ouvre un placard où se trouve toutes sortes de bandages et de soins.

- tu te fais souvent mal ? Demandais-je.

- oui , sa m'arrive.

J'attrape le désinfectant et les compresses.

Je commences à essuyer sa lèvre à genoux devant Harsa , lui est assis sur le rebord de son lit.
Putain j'ai tellement envie de ce connard.
Je le pousse et l'allonge sur le dos , je m'installe au dessus de lui avant de désinfecter ses blessures au torse.

Puis je l'embrasse au dessus du téton , la bosse de ses muscles se pose délicatement sur mes lèvres.

Il penche légèrement la tête en arrière.

J'en profite pour lécher son cou et l'embrasser.
Je continue donc avec son torse doux et musclé et sens son érection sur ma cuisse.
Je me lève d'un bon et ferme sa chambre à clé.

La maison en face Où les histoires vivent. Découvrez maintenant