- POV Aizawa -
L'entraînement est finalement terminé, putain j'y croyais pu. Il ne reste plus qu'un seul cour et je vais pouvoir retourner dans mon lit !
Tout les élèves discutent entre eux tandis qu'on attends toujours Izuku et Bakugo. Je peux pas croire qu'Izuku ne soit toujours pas réveiller. À ce que Chiyo m'a dit, il n'était pas autant amoché que l'on croyait.
J'ai bien été surpris de voir le p'tit Akio lui venir en aide pendant que les autres murmuraient tout plein de trucs sur Shoto. J'ai sincèrement confiance en Izuku, il arrivera a le changer !
Mais là, je dois aller les chercher ! On va finir par être en retard au cour, ce qui signifie qu'on devra finir plus tard et ça, c'est non.
J'entre dans l'infirmerie et tombe sur Bakugo, assit sur Izuku. Je suis prêt a mettre ma main au feu qu'ils étaient en train de s'embrasser.
Aizawa : On vous attends.
J'ai pas besoin d'en ajouter et je sors. Honnêtement, je connaissais l'amour irrationnel que le petit vert à envers Bakugo mais, que l'inverse soit possible ? Je me suis jamais poser la question. Et bien, je suis content pour eux .. tant que sa n'affecte pas leur résultat !
Les deux veulent devenir numéro un, les deux ont du potentiel pour le devenir.. si leur amourette les empêche de devenir de grand héro, j'en serais sincèrement déçu.Une fois dans la classe, tout se déroule normalement, putain que j'ai la flemme de faire les cours. Je me cache dans mon sac de couchage jaune et me tape la meilleure sieste que je peux tandis que les élèves prennent des notes.
~ saut dans le temps ~
J'entre enfin dans ma chambre. Vivre ici ce n'est pas totalement la joie mais tant que j'ai un lit confortable, le reste je m'en balance.
Je remarque une paire de souliers dans l'entrée. Je lève un sourcil et me dirige vers la commode puis commence tranquillement a retiré mes vêtements.
Un torse trempé se colle a mon dos et des bras m'entourent la taille. Je souris bêtement et passe mes mains sur les avant bras et entre croise nos doigts.
Aizawa : Tu as déjà terminé ? Comment a été ta journée ?
Mic : Oh, tu sais c'était plutôt ennuyant. La routine. Et toi ? Comment ça été l'entraînement ? Et puis avec notre petit Akio, comment ça va ?
Aizawa : Les élèves me surprennent mais ne sont pas encore a leur plus ultra. Sinon, j'ai du intervenir au combat d'Akio et Kirishima. C'est dommage mais, il était déjà furax pour , je ne sais quelle raison, alors je n'ai pas prit de chance quand je l'ai vue regarder l'autre de la façon qu'il l'a fait. Mais, sinon ça semble bien aller. J'ai totalement confiance en Izuku, je suis certain qu'il arrivera a le changer.
Mic : Je suis content d'entendre ça ! Avoir un véritable ami, ça lui ferait tellement de bien. Et qui sait.
Il sourit contre mon épaule et commence a membrasser la nuque ainsi que le dos tout en retirant ma chemise.
Mic : T'inquiètes, j'ai juste envie d'être coller a toi.
Je me tourne et l'embrasse tendrement avant de le soulevé et l'amener dans le lit.
Aizawa : Tu vas finir par devoir amener des vêtements de rechange et une brosse a dent.
Mic : Qui te dit que ce n'est pas fait ?
- POV Akio -
Putain qu' il m'a fait chier a annulé mes alters ! Par sa faute j'ai dû me faire éclater la tronche devant tout le monde.
J'entre furax dans ma chambre et ne me gène pas de claquer sauvagement la porte et de mettre ma musique assez forte.
Et puis lui, il est pas sensé être célibataire !? Pourquoi ai-je l'impression que l'autre flammèche et lui sont ensemble !?
Mais au final, pourquoi ça m'intéresse !? Il fait bien ce qu'il veut putain de merde !
Je retire mon haut d'uniforme et enroule mes mains de bandages. Je dois m'améliorer et surtout me défouler.
J'ai demandé spécialement à me faire installer une machine de boxe murale dans ma chambre. Comme ça, je peux m'entraîner tout en restant loin de tout le monde.
Mes coups de poings s'enchaînent, coup après coup.. plus fort les uns que les autres. Putain que c'est soulageant.
Une main vient se déposer sur mon épaule, ce qui m'arrange un cri. Je me tourne vers la personne et aperçoit une chevelure verte. Il fou quoi ici !? Je diminue le volume de la musique et lui lance un regard.
Deku : Je.. tout va bien ?
Akio : Pourquoi !?
Deku : Bah.. je sais pas. Tout ça..
Akio : Comme si quelqu'un s'en souciait réellement.
Je vais enfiler un t-shirt et vais massoir dans mon lit. Deku, qui ne semble pas totalement a l'aise, vient me rejoindre sans que je l'ai invité.
Deku : Écoute Akio.. je ne sais pas par quoi tu es passé avant d'arriver ici.. je ne connais strictement rien de ta vie..
Ses mains viennent agripper délicatement les miennes. Mon coeur rate instantanément un battement.
Deku : Mais, sache que tu n'es plus seul. Moi je suis là. Moi je m'en soucis, sincèrement. Sinon je ne serais pas venu te voir.
Akio : Tu.. tu es quelqu'un de trop gentil Izuku.. tu sais que ça finira par te retomber dessus ? Les gens qui sont gentils sont toujours les premiers a se faire massacrer..
Deku : Oh .. si tu savais. Je suis fait fort. Je ne connais rien de ton passé mais tu ne connais rien du mien non plus.. je l'ai eu difficile.
Akio : Et tu continues a être aussi gentil envers les gens ?
Deku : C'est ma mission.
Nous discutons pendant environ une bonne heure, de tout et de rien. Il m'a fait rigoler quelques fois.. j'ai beau ne pas vouloir m'attacher, ça m'a fait un bien fou.
Deku : Je dois y aller.. je ne serai pas sur l'étage pour toute la soirée et la nuit aussi. Mais, tien voici mon numéro, s'il y a quoi que ce soit, écrit moi !
Il me tend un bout de papier et sort de ma chambre. Il ne sera pas la de toute la nuit ? Il va dormir où ? En faite, je m'en bat les couilles ein !
VOUS LISEZ
Un jour, tu seras mien (Baku X Deku)
FanficLe syndrome de Stockholm se caractérise par : La création d'un lien d'attachement, d'empathie positive, de compréhension voire d'amour entre la victime et son agresseur ... Ouais, je crois qu'on ne peut pas aussi bien décrire ma situation présente...