Pluton's Sons - Génie ( Tome 3)

Chapitre 9

Matt

Je l'ai enfin trouver cette salope. Elle m'a bien dupé. Je la pensais avec son frère mais elle est venue ici en Arizona. Depuis des mois je la traque comme un chasseur avec sa proie. Je l'ai vu rire avec des salopes dans son genre, conduire une putain de bécane, être aux bras d'un homme. Cette pétasse a changé depuis qu'elle est partit trois ans plus tôt. Pourtant au fond, elle est toujours la même : une petite chose fragile et craintive, une femme au foyer, celle que j'ai forgé à force de coups. Mais qu'à cela ne tienne, je vais prendre plaisir à la refaçonner en petite épouse parfaite. Je sais qu'elle ne m'a pas oublié, elle porte encore le même parfum. Comment je le sais? C'est simple, je suis entré chez elle, j'ai respiré ses vêtements, fouillé son armoire à pharmacie et tous ses placards. J'en ai profité pour placer des caméras dans toutes les pièces, bien sûr dans la salle de bain aussi. Pendant des jours j'ai pu la regarder à son insu, enfin pas vraiment vu que c'est ma femme. Je l'ai vu avec un homme, un merdeux de biker comme son pathétique frangin, surement un mec qu'elle se tape depuis pas mal de temps vu leur proximité. Quelque chose dans l'attitude de ce minable, dans son visage et son physique, me parait familier. Cela me fout en rogne. Pourtant je connais aucune de ces merdes de biker.

Dans un souffle, je ferme les yeux, allongé sur le lit puant de cet hôtel miteux. Je repense à mon passé, à tout ce que j'ai perdu depuis que cette pute infidèle m'a lâchement quitté.

*****

Des années plus tôt

Avant même de passer la porte de chez moi sur la base je sais que quelque chose ne va pas. Un silence inhabituel m'accueil. Où sont passés les pas feutrés de ma femme soumise à souhait? Où sont les braillements du morveux qui me sert de fils - enfin s'il s'agit vraiment de mon fils, j'avoue avoir un putain de doute là dessus? Rapidement je monte les escalier et fonce dans ma chambre. Les portes de l'armoire sont entrouvertes, d'ici je peux déjà voir que seuls mes fringues sont rangés.

Cette pétasse a osé ! Elle est partit !

Sans plus attendre je cours vers le poste de garde afin de savoir depuis que Théa est partir. Je tombe alors sur une hérésie : une femme militaire, du grand n'importe quoi ! Alors quand elle refuse de me répondre, je cogne cette garce si fort qu'elle tombe dans les vapes. Une pulsion soudaine me prends, la femme devant moi prend peu à peu les traits de ma femme. La voir ainsi, aussi fragile, fait dresser ma verge. Je défais les fringues affreuses qu'elle porte et lui attache les mains. Je me positionne entre ses cuisses et m'enfonce d'un coup. Elle est si serrée, c'est tellement bon. Mes coups de reins sont de plus en plus vifs. Il ne me faut pas longtemps avant de jouir surtout avec mes mains autour de son cou. Une fois mon affaire finit, je rentre chez moi où Théa ne m'attend plus.

Les jours suivants sont tous identiques : entre deux entrainements, je vois Théa partout à m'observer. Même en mission elle est là. Le plus bizarre c'est qu'à chaque fois que je jouis, comme un malade à chaque fois, ma femme n'est plus là, une autre a pris sa place, ma queue enfouit en elle. Avec ce constat une rage incontrôlable monte en moi et me colle à la peau. Cela m'est arrivé des dizaines de fois déjà ! Je remarque aussi un autre changement - en moi ou en Théa je ne sais pas - : je ne nous satisfait que lorsque le degré de violence est élevé. Combien de fois cette pute me supplie de la baiser et la taper en même temps, de la prendre avec diverses objets ! Notre histoire a pris une tout autre dimension, et ce n'est pas pour me déplaire.

Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce que je sois arrêté et jugé pour viol avec violence sur plusieurs femmes de la base -militaire ou civile. Je ne comprends pas, je ne les ai jamais vu avant, pourtant les clichés me montre bien en train de les baisers. C'est quoi ce bordel ?