Pluton's Sons - Génie ( Tome 3)

Chapitre 5

Génie 

Depuis que mon trésor a récupéré son gamin elle ne le lâche plus. Elle nous l'a présenter en bonne et due forme, surtout que le petit s'est entiché de la Prés. Il faut dire que ce qu'ils ont vécu n'a pas été simple, ni pour l'un ni pour l'autre. Le point positif de toute cette merde c'est que la belle Vénus et moi nous sommes rapprochés. Je passe presque toutes mes soirées avec cette petite famille, soit chez moi, soit chez elle. De ce fait, j'y passe aussi toutes mes nuits. Elle sont parfois calme et pleine de tendresse et parfois sauvage et passionnées. Une peu comme ce soir en fait. Nous regardons le film l'Age de Glace avec Asta après un bon plat de pates à la Carbonara, jusqu'à ce que le petit s'endorme la tête sur les genoux de sa mère et ses pieds sur les miens. Théa l'a donc pris dans ses bras et l'a couché. Il ne lui a pas fallu longtemps avant de revenir vers moi. 

Elle est tellement alléchante dans sont pyjama - short en coton léger et débardeur fin - sans rien en dessous. Irrésistible. Ma queue coincée dans mon jean gonfle et je me sens soudainement à l'étroit. Je ne me lasse pas de m'enfuir en elle, de l'entendre gémir de plaisir, de douleur. Je l'examine de haut en bas, m'arrêtant sur chaque centimètre de son corps de rêve. 

- Viens ici, je lui ordonne la voix rauque d'excitation. 

- Pourquoi? me demande-t-elle joueuse. 

- Je veux voir tes lèvres enserrés ma queue. 

Docile, elle s'approche de moi, en se déhanchant sensuellement avant de se mettre à genoux devant moi, entre mes jambes. 

- Défait mon jean, je continue de lui donner des ordres. Attache tes cheveux et descend ton haut, je veux voir tees seins pointés vers moi, dur d'excitation. 

Je la vois déglutir, la flamme de désir brille dans ses prunelles aux pupilles dilatées. Doucement comme pour faire monter la pression - au sens propre comme au figuré - elle commence par prendre un stylo sur la table basse et le mettre dans ses cheveux qui ont bien poussés depuis notre première rencontre. Un style un peu bohème qui lui va bien. Puis elle fait glisser une bretelle de son débardeur puis l'autre, avant de libérer sa poitrine qui me fait baver. Ses mains viennent ensuite se poser sur mes cuisses et remontent vers ma braguette en caressant ma queue au passage. J'étouffe un grognement lorsque le bouton saute et que j'entends le bruit de la braguette qui coulisse. 

Quand sa langue remonte le long de ma verge, je ferme les yeux et frissonne de plaisir. L acoquine joue avec moi et prend tout son temps massant mes couilles. Je grogne impatient de passer aux choses sérieuses mais la laisse penser qu'elle a le contrôle, encore un peu. Mes mains me démangent de s'accrocher à ses cheveux et à la prendre bien comme il faut. Je veux sentir sa gorge déglutir autour de ma queue, savoir qu'elle s'étouffe - façon de parler - autour de moi. Soudain, le fil de ma patience craque, je lui agrippe les cheveux dans mon poing serré et lui baisse la tête tout en levant mes hanches. Sa surprise passe rapidement comme un éclair dans ses yeux avant qu'elle ne gémisse et se détente pendant que je lui baise la bouche à ma guise. De façon sauvage, brutale, sans compromis sur mon plaisir et toujours dominant. Ce n'est pas pour autant que je la néglige, elle et ses désirs, son besoin de douleur pour éprouver du plaisir. D'une main, je lui imprime toujours un va-et-vient impitoyable dans ma bouche, et de l'autre je prends soin de taquiner ses tétons, de les maltraités jusqu'à ce qu'ils soient aussi dur que des diamants. Pendant tout ce temps, elle gémit et me suce encore plus intensément. Je me sens près du gouffre et la prévient afin qu'elle avale tout, jusqu'à la dernière goutte. Comme une reine, elle avale tout ce que je lui donne tandis que je grogne ma jouissance, les yeux fermés et la tête en arrière. Du bout de la langue elle prend le temps de me nettoyer pendant que je descends de mon nuage.