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...

Je me retourne.

C'est le petit frère de Kamel.

.. : qu'est tu fais ici ?

Moi : je visite.

.. : mon domicile n'est pas un musée.
C'est une voix qui vient de derrière.

Je me retourne.
Kamel

D'où est ce qu'il est sorti ? Comment il a fais pour être là alors que je l'ai laisser en bas avec mon père ??

Moi : je pose aucun problème.

Trois autres hommes viennent derrière Kamel.
Kamel leur fais un signe de la tête.
Ils s'approchent dangereusement de moi, je ne recule pas je leur lance un regard menaçant.
Ils sont 5 je suis seul.
Je sors mon armes de mon sac et mon spray au poivre.

Moi : me touchez surtout pas bande d'enculer

Le frère a Kamel m'attrape le bras, je le gaz tout en gardant mon arme pointé sur Kamel.

Moi : j'ai bien dis me touchez pas, touchez moi j'hésitais pas a appuyer sur la gâchette.

Ils se stop.

Kamel : fait juste ce que je te dis et tout va bien se passer.

Je rie .

Kamel : rentre dans la pièce.
Il me pointe la pièce d'où il est sortis

J'y vais avec les mecs qui me suivent de près.

La pièce est constituée d'un lit une place, une chaise en bois et d'une lampe.

Moi : qu'est tu veux que je foute ici

Kamel : sortez.

Les hommes sortent, ils ferment la porte.
Plus que moi et Kamel dans le noir. Je voyais absolument rien du tout.

Kamel : tu sors pas de la pièce tant que tu m'a pas dis qu'est tu foutais devant chez moi .

Moi : mais t'es complètement malade, tu m'enferme dans une chambre juste parce que j'étais près de chez toi ?

Kamel : tu réponds pas à ma question beauté.

Moi : qu'est ce qui me dis que tu va pas me laisser sortir ?

Kamel : tu as ma parole.

Moi : je suis venu t'espionner si c'est ce que tu voulais savoir. Mon père m'a envoyer pour venir te parler afin que tu travail pour lui ou avec lui. Pourquoi ? Je sais pas me demande pas.

Kamel : et ton père il avait pas assez de couilles pour venir me parler pour m'envoyer sa chouchoute ?

Moi : j'suis loin d'être là chouchoute de mon père premièrement.

Kamel : très bien.

Moi : laisse moi sortir maintenant ta eu ce que tu voulais.

Kamel : je n'ai toujours pas eu ce que je voulais.

Moi : je suis pas un de tes hommes pour m'ordonner des trucs au cas où tu vois ?

Dans le noir absolu j'essaye de me diriger vers la porte discrètement pour pas qu'il remarque, je pose ma main sur la poignée et je me sens tiré le bras par derrière.

- VISER LE CŒUR SANS ARMES - RymOù les histoires vivent. Découvrez maintenant