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- 2 jours plus tard-

Ça fait déjà deux jours que je ne suis pas sorti de l'hôtel.

Sa toque à ma porte, je n'ai contacter personnes donc logiquement je n'attends personne. Je suis juste habillé du peignoir que l'hôtel m'a donné. Je prend mon armes cachés dans un tiroir, et j'ouvre la porte.

Un homme assez jeune, il doit avoir la vingtaine. Type maghrébin.
Je le regarde avec incompréhension mais aussi méfiance.

.. : j'ai garée ta voiture en bas juste en face de l'hôtel.

Moi : comment t'a trouver ma voiture.

.. : Kamel.

Moi : ah bon ? C'est gentil merci .

Il me sourit et part sans rien dire.
C'est sympa de sa part.
Je m'habille, je prend la route. Je m'arrête dans un centre commerciale. Je m'achète un téléphone. Et par l'occasion shopping express.

- HÔTEL -
(10h02)

Je suis devant ma porte, j'entends des bruits. Au début je pensais que c'était une femme de ménage sauf que j'ai demander à ne pas rentrer dans ma chambre sans mon autorisation ou ma présence, j'ai bien peur qu'ils tombent sur mes armes.

Je rentre très discrètement, ils sont dans la salle de bain.

Deux hommes qui travaillent pour Ayoub.
Jacky et Michel .
Ils sont toujours ensemble, ils ne font qu'une personne, il n'y a pas un moment où l'un et sans l'autre.

Moi : j'imagine que c'est moi que vous cherchez puisque y'a rien d'autres.

Jacky : j'aurais voulu te voir morte.

Moi : dis à ton couillon de chef qui me sert de géniteur de bien aller se faire enculer.

Il s'approche tout les deux de moi, gros coup de poing dans la face de Jacky, coup de pied dans les cacahuètes de Michel qui se plie en deux.

Moi : osez me touché ?

Michel : tu va le payer.

Moi : aller va te faire trouer toi aussi bouge de là.

Je l'es attrapes tout les deux par leur cou, je suis plus petite qu'eux mais rien à faire, je les chasse de ma chambre.

Moi : dites à votre chien de m'oublier et que même rêver de faire affaire avec moi c'est pas la peine.

Je claque la porte. Je fouille rapidement, pour voir ce qu'ils ont pu chercher, je n'en ai aucune idée, c'est peut être moi ? Mais qu'est ce qu'il foutaient dans la salle de bain. Je fouille et je tombe dans un minuscule micro qui était cacher derrière le robinet. Mais qu'est ce qu'ils veulent putain.

Quand je me rend compte que Sonia est sûrement chez moi à cette heure si, je dévalise les escaliers, je demande à l'accueil un téléphone, je compose son numéro.

APPEL  SONIA

Moi : allô Sonia ?

Sonia : oui ma chérie tu va bien ?

Moi : oui je vais bien. Dépêche toi vite prend absolument rien avec toi même ton téléphone, laisse tout, cours vite chez Monica ta copine s'il te plaît je t'en supplie

- VISER LE CŒUR SANS ARMES - RymOù les histoires vivent. Découvrez maintenant