- VISER LE CŒUR SANS ARMES - Rym

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Veuillez m'excusez de mon absence j'avais ni le temps ni l'envi d'écrit et j'étais également à court d'idée.

...

On était en fou rire .
le propriétaire de la chienne arrive en fou rire, quand il courait il allait dans tout les sens on aurait dis un mec ivre complètement shtarbé (c'est ma façon de dire Fou) il attrapes la chienne par son collier .
On observe cette scène spectaculairement drôle..

Propriétaire du chien : depuis quand ta peur de quelque chose toi ?

Kamel : j'ai pas peur. Tu me prends pour une tapette ou quoi. (Sec)

Propriétaire du chien : bah pourquoi tu courais?

Kamel : parce que elle était sur le point de m'arracher Kamel junior

Ils se disputaient pas, ils rigolaient, le propriétaire de la chienne affichait un grand sourire, il devait sûrement se retenir pour évité de repartir en fou rire ..

On est rester un bon bout de temps à surveiller quand est ce que le propriétaire du chien

allait parti mais décidément il a passer la nuit là bas .. d'ailleurs son visage me dis absolument rien du tout

-DANS LA VOITURE-
(9h25)

TOC TOC à la fenêtre..

Oui.. on s'est endormi dans la voiture comme des gros bébés. Je sais même pas quand et je m'en suis même pas rendu compte ..
J'ouvre difficilement les yeux.. j'aperçois une silhouette qui m'ai familière, mais je ne vois casiment rien puisque mes yeux ne sont pas complètement ouvert

Kamel

J'étais surprise de le voir, pourquoi il vient nous voir ? .. je met mes lunette de soleil et je descend la vitre.

Moi : qu'est tu veux ?

Kamel : (rire nerveux) tu te fou de ma gueule j'espère ?

Moi : t'es qui déjà ?

Je sais très bien qui c'est mais je veux juste lui faire comprendre que j'en ai tellement rien à faire de lui que je me souviens même pas de lui.

Kamel : le mec que tu voulait .

Moi : je veux personnes encore moins un mec . (Sec)

Kamel : descend

Moi : ah ouais ? Et pourquoi je devrais le faire ?

Je le regarde droit dans les yeux sans afficher une seul émotion, mais lui il ne voit absolument pas mes yeux, c'est bien déstabilisant puisqu'il doit sûrement savoir que je suis en train de le fixer.

Kamel : parce que je te dis le faire.(sec)

Je rie, il est vraiment debile, pour qui il se prend ce bouffon ? Sérieusement ? Je vais descendre parce qu'il m'a dis de descendre ? Manquerais plus que ça. jamais de la vie entière il me verra exécuter ses « ordres »

Moi : tu peux toujours rêvé, jamais de ta vie tu me verra exécuter les « ordres » que tu me donne

J'insiste bien sur « jamais » et « les ordres ».

Kamel : qu'est tu fou ici ?

Il faut pas qu'il sache que je sais qu'il habite ici car c'est vraiment trop suspect.

Moi : et toi qu'est tu fou ici ?

Kamel : ça te regarde pas.(sec)

Moi : de même .

Kamel : écoute tu va gentillement me dire ce que tu fou à côté chez moi à cet heure ci

Moi : ma vie ne te concerne absolument pas. Je n'ai pas à me justifier.

Je démarre la voiture..
Il se met en face de celle ci.

Moi : j'hésiterais pas à te foncer dessus mon coco, alors casse toi .

Il met un gros coup dans la plaque d'immatriculation qui l'a fait tomber. Je sors de la voiture et je claque fermement la porte.

Moi : va te faire enculer , mais t'es un gros malade !

Il s'approche dangereusement de moi, je n'ai pas le temps de cligner des yeux que je me retrouve violemment collé à la voiture avec ses mains autour mon cou sans pour autant forcer dessus, il me maintient juste pour éviter que je ne bouge .

Je n'affiche rien, je reste complètement neutre.
Il était furieux pour je ne sait qu'elle raison mais il me fusillait du regard comme si je lui devait de l'argent.

Kamel : tu sais qui j'suis ?

Moi : non et je n'en ai rien a foutre.(sec)

Il serre plus fort.

Kamel : reparle moi de cette manière et je vais t'en faire baver tu m'entend ou faut que je te le répète .

Moi : répète .

Je suis très très provocatrice dans ses moments là, j'ai vraiment pas peur de ce qui peut m'arriver, j'ai tellement vécu des choses horribles qui pourrait traumatisé une personne « normal »

Il me lâche, il se rapproche de moi, nos corps se frôlent. Il s'approche doucement de mon oreille, je sens son souffle chaud caresser mon oreille et ses lèvres effleurer mes cheveux.

Kamel : rappelle toi du jour où tu m'a écraser les pieds avec t'es sale cuissarde de traînée. Je t'avais dis de te souvenir de ce jour.

Provocatrice que je suis, je fais de même, je m'approche de son oreille.

Moi : la personne que t'insulte de traînée te plaît tellement qu'elle est rester dans ton petit crâne. Je savais même pas qui t'étais avant que tu me rappelle ce jour.

Absolument faux, c'est tellement drôle d'être provocatrice et arrogante en même temps ..

Il se pousse de moi, il me dévisage de la tête au pieds puis il s'en va

Kamel : ta de la chance je frappe pas les filles parce que je t'aurais tabassée. Rappelle toi bien bien de ce jour

Je ris

Moi : tu m'avais dis de me rappeler de l'autre jour et tu m'a absolument rien fais .

Kamel : souvient toi seulement.

Khadija dort toujours.
Je monte dans la voiture je démarre et on rentre voir mon père.

...