- VISER LE CŒUR SANS ARMES - Rym

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Je tombe nez à nez avec Ayoub et ses deux chiens de tout à l'heure l'armes pointé sur moi et Sonia.

Putain de merde.

Ayoub : tu pensais vraiment t'en titré comme ça ?

Un sourire de gros vicieux, je le déteste.

Moi : tu te sens comment grosse merde ?

Ayoub : Je me sentirais bien que quand tu sera morte.

Moi : pff.

Ayoub : cela fait même pas une semaine que t'es plus sous mon toit et sous mon autorité que t'écarte déjà t'es jambe espèce de pute.

Alors là ! Jamais fallait dire sa.
Je sais pas qu'elle genre de pensé il a mais j'espère bien que c'est pas celle que je pense.

| POINT DE VUE KAMEL |

Il est actuellement en train d'insinuer que j'ai couché avec sa fille. J'aurais pu réagir mais je veux voir qu'est ce qu'elle lui dira.

Rym rigole, elle est vraiment en fou rire, je pense très fortement qu'elle rie nerveusement.

Ayoub : qu'est ce qui te fais autant rire ?

Rym : tu me demande vraiment pourquoi est ce que je rigole ? Tu m'insulte de pute mais honnêtement entre moi et toi c'est qui la grosse pute ? Toi. Je m'en bas la race de ce que tu pense de moi, maintenant t'es personne, donc tu vois ton ptit cul dont t'en prend grandement soin, tu va aller te le faire trouer parce que t'es pas un homme couillon, t'a rien dans ton boxer qui doit sentir sacrément fort, j'en ai beaucoup plus que toi, les rôles sont pas distribués aux bonnes personnes. Quel genre de pédale es-tu pour tendre des pièges à ta fille ? Hein ? Dis moi.

Il dit rien.

Rym : Tu t'en rappelle du jour ou 2 hommes sont entrée par effraction, j'avais seulement 14ans et toi t'étais où ? T'es parti te cacher comme une ptite pédale sans couilles. Alors je vais te le dire très sereinement et tranquillement, n'essaye absolument pas d'envisager de t'approche de Sonia ou moi, crois moi que désormais le moindre fait et geste qui me déplais je te le ferais payer.

Elle a tout lâcher sans bégayer, elle est vraiment folle de dire ça à son père qui est dirigent d'un gang et en + devant des inconnus, devant ses hommes et devant ses ennemies elle l'a humilié sans réfléchir une secondes.
Sacré Femme.

Ayoub était juste choquer par tout les propos qu'elle a sortit envers lui. A sa place je lui aurais trancher la gorge.

| POINT DE VUE RYM |

C'est quand je vois le visage de mon père et de Jacky et Michel choquer que je me rend compte de la grosse connerie que je viens de faire. Je l'ai humilié devant ses hommes, ses ennemis, j'ai déclaré la guerre.
J'ai signé mon arrêt de mort.

J'ai carrément oublier que ses hommes nous visaient.

Mon père se dirige dangereusement de moi sans un mot, sans une expression facial, rien.
Il lève sa main sur moi pour m'en coller une mais une main l'arrête avant de toucher ma joue.

Je me retourne et j'aperçois Kamel qui e fusille du regard.

Kamel : on tape pas les femmes.

Ayoub le regarde comme s'il voyait un extraterrestre.

Kamel : du moins pas dans mon territoire, d'ailleurs tu n'a rien à faire ici personne t'en a donné l'autorisation, repose un pied ici tu verra.

Ayoub souffle de mécontentement, il est frustré, énervé, il veut tout simplement ma mort.
Il part avec ses deux caniches.

Moi : fallait le laisser faire, après tout ce que j'ai dis il fallait qu'il me fasse payer un avant premier de ce qui m'attend je pense.

Kamel : j'ai une maison pour vous deux pour que vous soyez en sécurité.

Moi : c'est inutile t'inquiète pas, tu m'a déjà beaucoup aidé, normalement je dois te rendre l'appareil.

Kamel : justement en parlant de ça, j'aimerais te voir si possible maintenant dans mon bureau.

Je fronce les sourcils. Je me demande bien ce qu'il veut.

Moi : Sonia reste ici, bouge pas hein .
Elle hoche la tête.

Il se tourne, monte les escaliers et se dirige dans son bureau suivi de près par moi.

Nous rentrons, il ferme la porte. Il s'assoie
Je m'assois en face de lui, je le fixe droit dans les yeux.

Moi : qu'est ce que tu veux ?

Kamel : que tu me kidnappe quelqu'un.

HEIN ? Mais il est fou?? Je suis une criminelle mais pas dans se domaine.

Moi : j'aurais bien accepter, mais je ne suis pas du tout doué pour ça, je tue les gens pour survivre pas pour le plaisir.

Kamel : la personne en que tu ferra souffrir te fais souffrir actuellement, je suis pas fou pour te demander une chose pareil contre une personne qui ne t'a fait aucun mal.

Je comprend absolument pas de quoi et qui il parle. Je le questionne du regard, il sourit.

Moi : qui est cette personne.

Kamel : Ton père.

...