CHAPITRE 3 | Diagnostic

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Tw : Vos mieux prévenir que guérir...

Sachez que COLOMBO n'est pas une histoires faites pour TOUT le monde il y aura des sujets sensibles comme séquestration, maltraitance, enlèvement, homicide etc... alors certainement que vos belle âmes d'anges ne supporteront pas ce genre de sujets... ;)

La bizette, Lola
:)


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Venise, Italie.

Une multitude de questions sans réponse se sont infiltrées dans mon cerveau. Je prévois toujours tout. Je sais tout. Comment j'ai pu louper ça, BORDEL ?!

Une seconde. C'est le temps qu'a fallut pour qu'une misérable balle, détruise un univers tout entier. Et quand je parles d'univers, c'est le miens. Il a condamné sa sœur, sans remords. Et la voilà dans un lit, branché a des fils qui permetent de la stabiliser.

Ce n'est pas de ma faute.
Si mec c'est clairement de ta faute.
Ta gueule !

Cette petite voix qui persiste à rester dans ma tête, me dévorant de l'intérieur. Mais comment est-t-il possible que se soit arriver. J'aurais dû le savoir, putain. Ça fait maintenant 7 heures que j'attends là, seul avec mes tourments. Elle n'est toujours pas consciente et maintenant que le diagnostic est fait, j'ai l'impression d'avoir échoué. Ça fait des années que j'attends ça, et tout c'est effondré en une fraction de seconde. Sous mes yeux. Une nouvelle fois.

T'es un abruti qu'est-ce tu veux !
Un abruti.
Abruti.
Abruti.

Rey et Carl hésitent, attendant au pied de la porte, méfiant. Aussitôt, mes émotions me submergent. Ma main repoussant mon bureau avec force, il s'écrase violemment sur le sol. Le fracas engendré par ma pertes de sang-froid, fait reculer d'un pas mes deux bras droits.

- BORDEL DE MERDE ! COMMENT ON A PÛT LOUPER UN TRUC PAREILLE ! Sei inutile per me*.

Vous m'êtes inutile.*

Je dégaine mon arme, pointes l'arme sur le front du premier et tire, sans hésiter. Entre les deux yeux, pas mal. Sans aucun remort, je dirige mon bras vers le deuxième.

- Abbi pietà di me, non farlo.* Il dresse ses mains devant lui.

Aie pitié de moi, ne le fais pas*

- Tu me déçois Carl. Je lui adresse accompagné d'une moue triste.

Il n'a fallut qu'une seule balle dans son cœur, pour que son corps sans vie, tombe à la renverse sur le sol. Je me positionne de façon à regarder son visage pâle. Une larme qui coule de son œil gauche. Loin de moi l'idée de prendre pitié.

- Tu devrais savoir que je n'ai, aucune, pitié. Je lui chuchote ajoutant un sourire amusé.

Leurs sangs dégoulinent de leurs corps livide, je me redresse, cherchant du regard un de mes hommes. Quand j'aperçois le blond qui me sert de technicien, dont je ne connais pas le nom, je le presse à venir jusqu'à moi.

ColomboOù les histoires vivent. Découvrez maintenant