CHAPITRE 12 | Perdre le contrôle

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Tw : Vos mieux prévenir que guérir...

Sachez que COLOMBO n'est pas une histoires faites pour TOUT le monde il y aura des sujets sensibles comme séquestration, maltraitance, enlèvement, homicide etc... alors certainement que vos belle âmes d'anges ne supporteront pas ce genre de sujets... ;)

La bizette, Lola
:)


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꧁༻Elia༺꧂

-          Nous nous battons pour des choses complètement différente. Et tu en as très bien conscience, Papa.

Papa.

Papa.

PAPA ?

Ce mot qui est sortie d'entre ses lèvres ne fait que tourner en boucle dans ma tête. Je n'en reviens pas. Les battements de mon cœur se font plus rapide. Je les observent tout les deux. Ezio adosser contre le mur le regard dur, poser sur son père. Lui est tourner face à son fils. Je ne peux pas étudier son visage mais j'imagine que lui aussi le transperce du regard. Soudain, le vielle homme se tourne vers moi, s'ajoutant un sourire effroyable sur ses lèvres. Il s'approche, redoutable.

Je panique et me démène pour me reculer sur le sol froid. Je glisse de nombreuses fois, tout en continuant de me hisser sur le sol. Il se dresse au-dessus de moi d'un air supérieur, arrache des mains la seringue de son homme. De cet angle, il est beaucoup plus terrifiant que d'ordinaire. Il approche sa main de mon visage délicatement. Et c'est encore plus terrifiant. Il caresse de son pousse ma joue, toujours accompagner de son sourire malsain. Aucun mots ne peut sortir de ma bouche. Je suis paralyser. Je détourne les yeux une seconde, pour croiser les yeux pétillant d'Ayon. Pourquoi Ezio ne réagit-il pas au faite que ce soit un putain de traitre ? Il le savait depuis le début. J'en suis persuader. Et ce salopard m'a laissé seul avec lui de beaucoup trop de fois. Espèce d'enfoiré.

-          Je te déconseille de faire ça. Balance rudement son fils.

Etrangement, son sourire s'intensifie, comme si, Ezio lui avait offert ce qu'il voulait sur un plateau d'argent. Ses yeux animaient une flammes immense en eux.

-          Sinon quoi ? Fils.

-          Avoir un père avare, c'est être un fils prodigue, non ?

-          Mon fils serait donc généreux aujourd'hui ? demande-t-il ironiquement.

-          Il l'était avant que tu ne deviennes un connard.

Au moins ça a le mérite d'être clair.

-          Oh... Ne fais pas l'ignorant toi et moi savons que je l'ai toujours été. Tu as juste fais l'aveugle.

-          Effectivement, aucun gosse sensé ne rêverai d'avoir un salaud comme toi en guise de père, alors j'ai préférer faire l'aveugle. Et beaucoup trop longtemps à mon goût si tu veux mon avis.

Son père fronce les sourcils. Il grimace et brusquement, la seringue atterrit dans mon bras. Un léger gémissement s'évade de ma bouche. J'entends vaguement un hurlement dans la pièce puis mon corps chute violemment en arrière sur quelque chose de dur. Le sol peut-être. Mon sang pulse dans mes veines avec l'insuline qui s'infiltre dans mon corps entier. Je sens mon corps défaillir petit à petit. Mes yeux sont toujours ouvert. La vision trouble, je ne vois plus très bien. La chaleur de mon corps monte jusqu'à mon cerveau. Je ne sens plus mes bras, ni mes jambes. Je sens légèrement mes yeux humide sur ma peau. Et puis, d'un seul coup...

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