Chapitre 18 - Boby

5.9K 254 7
                                    

Elle est assise sur mes genoux et je ne cesse de la contempler.
- Ça va refroidir, dit elle tout bas en décollant sont front du mien.
- Ta raison.
Je commence à manger, elle se lève pour se rassoit à sa place mais je la retient avec un bras pour ne pas qu'elle s'en aille.
- Je te signale qu'après la soirée que tu m'as faites passer, mon ventre cri famine Boby, dit elle avec un sourire malicieux.
- Tu m'aime vraiment ?
Un petit silence se crée rapidement dans la pièce.
- J'aimerais te répondre que oui, mais je ne suis pas prête à aimer de nouveau...
- Ne t'inflige pas ça Dana, tu vas en souffrir.
Je vide son assiette dans mon assiette et lui tend sa fourchette.
- Problème résolu, mon coeur, dis je en essayant de changer de conversation. On mange dans une humeur taquine et nous faisons la vaisselle dans la même humeur.

Je plonge sur mon lit et allume la télé grâce à la télécommande. Je met une chaîne musicale et j'attire Dana restée sur le côté, sur le lit. Quand je la voit dans mes habits, je la désire encore plus profondément. Sans crier garde, j'enlève mon sweat quelle porte, ses seins magnifique rebondissent. Ses mains glisse le long de mon boxer et caresse mon entrejambe déjà debout. J'ai la trique de dingue. J'ouvre le tiroir de ma commode et y sort un petit sachet. Je lui enlève le caleçon qu'elle a pris dans mon armoire. Elle m'aide à enlever mon boxer et elle place le morceau de latex sur mon engin. Elle monte à califourchon sur moi et s'empale à mon entrejambes. Je me redresse de façon assise pour pouvoir lécher ses seins et lui baiser le coup. Lorsqu'elle commence enfin à bouger s'est hanches, je frémis et lâche un long gémissement. Elle passe ses mains dans mes cheveux et tire tendrement sur ces derniers pour que je relève la tête. Elle me sourit innocemment et m'embrasse. Ses mouvements de hanches sont de plus en plus rapide. J'enfonce mes mains dans le bas de son dos pour la rapprocher encore plus de mon corp. Nos souffle se mélangent, elle mordille ma lèvre inférieure. Elle adore vraiment faire ça. Ses yeux se plante dans les miens
J'en peux plus. J'explose dans un gémissement encore plus long et bruyant que le dernier. Son corp s'écroule sur le mien. Nos respiration bruyante vienne se mêler au son de la télévision. Elle m'embrasse longuement dans le coup, à plusieurs endroit différent. Je sais qu'elle marque son territoire et j'adore ça.

La porte de ma chambre s'ouvre brusquement et la tête de ma mère apparaît l'instant de quelques secondes, puis elle disparaît.
- Désolé, je ne savais pas que tu avais de la compagnie crie t-elle de l'autre côté de la porte.
Dana et moi sommes tellement encore en état "fin de baise" que nous ne réalisons pas trop sur le moment puis elle fini par lâcher :
- Je rêve ou ta mère vient de nous voir nu ?
Elle se redresse et enfile son leegin de la veille sans même enfiler quoi que ce soit en dessous, elle enfile mon sweat et prend le sien dans ses mains.
- Boby bouge toi.
J'arrive pas à croire que ma mère nous ai surpris dans cette position et surtout après l'activité que nous venons de pratiquer. Heureusement que mon draps recouvrait les parties inférieur de nos corp. Je me lève et enfile mon boxer, ainsi qu'un short et un t-shirt.

Nous nous dirigeons en bas et mes parents nous attendent au pied de l'escalier comme ci, ils ne voulaient pas la raté. Elle les saluent et je la raccompagne à la porte en la fermant derrière moi. Je la prend dans mes bras et lui chuchote au creux de l'oreil. :
- Ce que tu m'as dit tout à l'heure ne change en rien la nature de mes sentiments. Je suis entrain de tomber amoureuse de toi Danaé Donell.

Je rentre à l'intérieur avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit.
- Alors jeune homme, qu'a tu a dire pour ta défense ? Demande ma mère
- Je suis a un stade où je découvre la vie ? Dit je en glissant un petit sourire comme pour minimiser les choses.
- J'espère au moins que vous vous protéger, dit mon père en s'en allant dans le salon. Je ne veux pas d'une fille de 17 ans et enceinte sous mon toît.
- Et moi j'espère que c'est ta petite amie, dit ma mère en suivant mon père.
Petite amie ? Je n'y avait jamais vraiment penser mais on a toujours pas officialiser les choses. Je me dépêche de monter dans ma chambre. Je reprend une douche rapidement et je m'allonge sur ma moquette en sortant mon téléphone.

Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant