Chapitre 8 - Danaé

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Hier soir mon père et moi étions convoquer chez le proviseur à cause de l'incident avec Steve. J'ai reconnu ma faute en disant que ce n'était q'un pur réflexe non voulu et que Steve ne m'en voulait même pas. Il nous a laisser partir, avec un avertissement comme quoi ce genre de chose ne devait pas se reproduire et nous sommes rentrer à la maison.

Au final, je suis privée de sortie ce qui ne change rien a ma vie parce que depuis qu'on déménager, je ne sort pas. Mais ça mon père l'a oublier. Je ne lui ai jamais parler de ce qu'il s'était passer dans mon ancien lycée, mais il s'est que mes cauchemars et mes crises sont dû à cela. Je sais que le faite que je ne veuille pas lui en parler le fait souffrir mais je n'ai pas le courage.

Demain Boby doit venir à la maison. Mes poils s'irisent rien qu'a cette penser. Mais à chaque fois que je le voit ce mec m'énerve encore plus qu'avant. J'ai l'impression que des que ces yeux se pose sur moi, il va vomir. Je déteste qu'on me regarde comme ça. Je ne supporte plus. Plus après tout ce qui c'est passé.
Quand je lui parle ou que je le regarde, j'ai même pas besoin de faire semblant de le regarder avec mépris comme ci c'était la plus grosse merde au monde, parce qu'il m'agace. J'ai fais quoi pour que ce soit le seul à me regarder de cette façon là ?

Et pourtant hier quand j'était blaser du sermons de mon père et que je marcher sur le parking quand j'ai tourner les yeux il était sur le terrain le visage tourner vers le mien. Il était torse nu et à cette instant précis je nous ai imaginer sur cette pelouse, entrain de faire la même chose que ce que faisait l'homme et la femme sur le bureau de la publicité.

J'allume mon ordinateur et tape dans la barre de recherche. Chose qu'il faut savoir sur le sexe. Apres avoir passer ma soirée à lire des choses les plus folles les unes que les autres, Je m'endors bouillonnante. Le lendemain, je n'ai pas la force d'aller en cours. Cette nuit encore j'ai fait un cauchemar, ou plutôt j'ai eu un flasback. Mon père à dû rester à mes côtés toute la nuit. Je m'e veux tellement.

Je prend ma douche et comme d'habitude quand mon père n'est pas là ou pour dormir, je ne porte pas de soutient gorge. C'est la chose la plus gênante qu'il puisse exister lorsque je suis chez moi. J'enfil un t-shirt à manche courte qui m'arrive au nombril et un short de basket.

Je me suis avancer dans mes devoirs et ai dormi un peu. J'aller me faire un sandwich lorsque la porte sonne. Merde l'exposé j'avais oublier ! Je vais lui ouvrir la porte et je le laisse entrer.
- Tu peut déposer tes affaires au salon, dis je pour le mettre à l'aise. Ou pour me mettre à l'aise. Putain ce travaille va être une vrai torture. Comment on va faire pour s'entendre si je n'ai même pas envie de lui adresser la parole ?

Il ne jette même pas un regard vers moi et commence à déballer ses affaires. Il me tend une feuille.
- Tient c'est la note de l'interrogation qu'il nous à fait hier. T'as eu un A++ dit il d'un ton sec.
- Merci, dis je en prenant le feuille le sourire au lèvre.
J'hésite puis je me lance.
- Et toi t'as eu combien ?
Il me toise méchamment et ne me répond pas. Pff, moi qui essaye d'engager la conversation.

Je monte à l'étage et vais chercher mon ordinateur. Je m'assoie â côté de lui et met la machine entre nous deux. J'allume l'ordi qui était en veille. Lorsque je clique sur internet les pages de mes recherche de hier s'affiche. Je me dépêche de tout fermer, mais trop tard il à tout vi et il me regarde avec un sourire moqueur. Putain je le déteste !
- Alors comme ça tu fais des recherche sur ce qu'il faut savoir du sexe hein ? Me demande t-il sur un ton moqueur en plus de son sourire moqueur.
- Qu'est ce que sa peut bien te foutre ! Dis je méchamment.
Son sourire disparaît un instant et réapparaît un instant plus tard.
- Sa sert à rien ce que t'a fait. T'est trop asociale pour qu'un garçon ne veuille sortir avec toi, où même te toucher.

En une phrase il vient de me mettre trop en colère pour que je le laisse s'en tirer comme ça. J'ai beau me répéter qu'il ne me connaît pas et que si il pense ça de moi c'est parce qu'il ne voit que l'image que je dégage au lycée, mais ses mots me mettent trop en colère. Cela fait une bonne dizaines de minutes que le silence règne dans la pièce.

Il est concentré sur l'exposé et moi je décide de passer à l'action. Je me lève prend le ventilateur de ma chambre et vient l'installer sur la table basse juste en face de nous. Je met la plus petite puissance pour ne pas que nos fiches s'envole. Dès que le vent se met en route je sens mes seins se dresser, des pointes se formes à travers le tissus de mon t-shirt. Je fais exprès d'attraper une feuille de son côté de la table pour agiter ma poitrine devant lui.
Ça marche, c'était trop facile. Il ne cesse de fixer ma poitrine et ça me donne des frissons. Mes poils s'irisent de plaisir. Nos regard se croisent. Il n'y a plus un seul bruit de feuille. Seul le moteur du ventilateur se fait entendre.

En une seconde je me retrouve allonger par terre coincé entre la table basse et le canapé. Boby m'embrasse le long du coup et à la naissance de mes mains. Je sens son entrejambes dur à travers son pantalon. Mes bras sont plaqué au sol. Il enlève mon t-shirt avec une facilité hallucinante et mon shirt de basket avec une rapidité qui me laisse sans voix. Puis lorsqu'il finit par enlever ma fine culotte en dentelle, il vient plonger sa tête entre mes seins. Sa langue chaude et humide lèche mes tétons dur comme jamais. J'ai chaud, trop chaud. J'enlève son t-shirt d'un coup de main. Il vient coller sont front au mien. Son regard est plein de colère, il me hais de l'avoir tester, il se haie d'avoir céder. Je m'aime de l'avoir piégé. Mes mains descendent entre ses cuisses, il se redresse, déboutonne son pantalon et enlève en même temps que son caleçon . Ce mec est ultra rapide quand il s'agit de déshabiller quelqu'un ou de se déshabiller sois même.

Là se dresse une immense tige. Cela devrait me faire peur mais au contraire j'ai envie d'y goûter. Je l'a prend entre mes mains et l'astique. Il vient reposer son front contre le mien et même si il a toujours se regard rempli de colère, je peux lire en lui. Je sais qu'il en veut plus et je vois un énorme coeur en lui, énorme comme je n'en ai jamais vu. À travers cette colère je le vois lui tel qu'il est et non celui qui me regarde comme un enfoiré à chaque fois. Tout d'un coup je m'arrête. Nous nous regardons longuement. Mes mains viennent se poser sur sa mâchoire. Il bouge les hanches et attrape son engins. Mon regard est toujours plonger dans le sien, ces yeux brain un tant sois peu claire, sont devenu sombre. Comme ci sont regard c'etait assombris de désir.

Je suis tellement concentrée à le détailler que je me vois surprise de pousser un cris lorsque je sens qu'il s'introduit en moi. Sa tête plonge dans mon coup et mes ongles viennent se plonger dans ses omoplates. Il émet un long gémissement lorsqu'il est complètement à l'intérieur de moi. Il fait des vas et viens doucement et je l'en remercie intérieurement de pas faire le connard en rute face à une pauvre vierge encore sous état de choque. Le plaisir qui prend le dessus sur la douleur c'est juste trop bon.
- Ça va aller ? Demande t-il.

J'empoigne ses fesses musclé et dur comme du béton et je l'oblige à s'enfoncer encore plus en moi. Je le sens sourire dans mon cou, avant de le baiser tendrement. Ses vas et vient se font lent et profond. Il gémit à chaque aller, tout comme moi. Ses mains titillent mes seins d'une façon agréable et ses baisers sont si chaud et humide. Il recolle sont front au mien et rapproche sont visage. Son nez frôle le mien puis il s'arrête complètement. Il s'immobilise au dessus de moi et la seule chose que je n'aurai pas cru qu'il ferait c'est déposer ses lèvres sur les miennes. Sa langue vient embraser la mienne, j'ai trop chaud. Jamais on ne m'a embrasse de cette manière. Il recommence ses vas et vient, mais cette fois ci, il va plus vite et plus vite encore à chaque mouvement. Je sens ses gémissements dans ma bouche. Je lui mordille la lèvre, il me sourit. C'est bien la première fois qu'il me sourit. Et on va pas se mentir, j'aime ça. Ma colonne vertébrale est en feu, le bas de mon centre est en feu, mon engin féminin est feu. Après être descendu sur la naissance de mes seins, sa bouche reviens contre la mienne. Sa langue cherche la mienne, une de ses mains caresse ma mâchoire tandis que son autre bras lui permet de rester en appuie.

Il va vite de plus en plus vite. Je ne peut plus me retenir. Mes yeux devienne lourd et se ferment. Il va plus loin et encore plus loin. J'explose, je n'en peux plus. Je met quelques secondes avant de réaliser que nous sommes entrain d'exploser ensemble. J'ai l'impression que je vais mourir de plaisir. Je brûle intérieurement.

Il s'effondre sur moi lourd et collant. Nos corp son rempli de transpiration. C'est comme ci j'avais couru pendant une heure. Nous restons emboîter comme cela pensant cinq bonne minutes le temps de reprendre son souffle et de se remettre des émotions. Je viens de vivre un truc de dingue avec cette homme que je déteste.

Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant