Loves me as I hate you (crossover of Sinder) : Tome 1

Chapitre 3 - Danaé

De tout les regards qui étaient postés sur moi, le sien m'as irrésistiblement attirer. Il provenait de cet homme, très grand. Il doit faire 1 mètres 90 à tout casser. Ses yeux brins, indifférent me donnèrent la chaire de poule. Du genre celle qui font iriser tes poils de plaisir. En même temps que j'y pense, je le regarde, curieuse, lorsque son regard re-croise le mien. Je m'efforce de prendre cette air de pétasse, trop bonne et intelligente et le revoilà encore. Ce regard, mais différents du dernier qu'il m'échangea au début du cours lors de ma présentation. Il me surprend cette fois ci avec du dégoût. Je le dégoûte et il me déstabilise. Je peux tout supporter sauf ce regard de dégoût. Tout sauf celui là.

Je ne doit pas le laisser me déstabiliser comme ça. Pas pendant mon premier jour de cours dans ce nouveaux lycée. Je repense alors à toute à l'heure au self l'expression horrifiée qui siégeait sur mon visage lorsque je découvrit que tout le monde me regardaient. Je bouillonne de colère quand je m'aperçoit qu'il me regarde encore avec cette air de dégoût. Je veux le frapper, l'insulter, le griffer, le mordre, lui arracher les yeux, je veux qu'il arrête. Si dans mon ancien lycée on m'aurait regarder comme ça, j'aurai sans doute pleurer. Nonc'est une certitude j'aurai rougis sous ma peau caramel et j'aurai pleurer.

Maintenant je me souvient. Il m'a regarder de la même façon à la soirée de ce mec super populaire dont je connais ni le prénom, ni le physique. J'en suis sûre, c'était lui. Je le hais encore plus ! Je suis sûre qu'il m'a déjà catégoriser. Enfaite je suis sûre que tout le monde l'a déjà fait. Sois je suis la meuf qui se prend pour je ne sais qui, sois je suis la meuf qu'il faut absolument baiser ou sois je suis une pétasse. Ma réputation est faite à ce que je vois. Ce lycée n'a pas perdu de temps.

Mon père n'est pas encore rentrer. Cette grande maison où nous venons d'emménager est vide et je ne m'y habitue pas encore. Je ne manque de m'écraser au sol, en essayant d'éviter les nombreux carton qui siège encore dans le couloir qui relis la cuisine à la porte d'entrée. Je dépose mon sac sur le comptoir et me sert un verre de thé glacé bien frais et bien sucré. J'enlève mes chaussures et je vais m'installer sur le canapé, télécommande à la main.

Mon premier jour n'était pas si mal après tout. Maintenant que je suis déjà catégoriser par tout le monde ils ne prêteront sans doute plus attention à moi. Depuis l'accident de mon ancien lycée, il y a un mois, je ne veux ni attirer l'attention, ni qu'on me parle. Mais on dirait bien que c'est raté pour l'attention. J'aurai pas dû m'habiller comme j'aime m'habiller. J'aurai dû me faire plus discret et éviter la cafétéria. Putain je déteste le lycée.

Après avoir longuement réfléchie devant la télé, je monte dans ma chambre et vais me coucher. Ce soir je n'est pas d'appétit.