Y/N x STU MACHER : PART 2 - SCREAM FANFICTION

Chapitre I : Retour à Woodsboro

Il était 18h30 quand nous avons enfin franchit la porte de ma maison. Maddie dormait à point fermé dans son siège auto, elle n'avait pas ouvert les yeux de tout le trajet. Je l'as pris doucement pour ne pas l'a réveiller. Les vacances l'avaient épuisées et nous étions toutes les deux contentes de retrouver notre chez nous. Ma chérie allait avoir 2 ans le mois prochain, j'étais si fière et heureuse de l'avoir avec moi aujourd'hui. Nous avions du traversée de nombreuses épreuves toutes les deux mais grâce au soutien de mes amis et de ma famille, nous pouvions vivre plus sereinement désormais.

En effet quelques mois après les meurtres de Woodsboro par Stuart et Billy, Maddie était née. Une petite fille en parfaite santé, au sourire enchanteur et à la bouille d'ange. L'avoir enfin auprès de mois après 9 mois d'attente fut le plus beau jour de ma vie. Elle n'avait hélas pas été accueillis chaleureusement par tout le monde. Quand la presse réussi enfin à percer l'identité de son père, et découvert que Maddie était la fille de Stuart Macher, les articles et journaux télés n'ont pas arrêtés d'en parler. Ma fille avait pour père un homme que j'avais aimé, mais qui avait causé tellement de malheur autour de lui. Il était l'un des assassins de 1996. Il avait participé aux meurtres et agressions de Woodsboro qui avaient causées de nombreuses victimes. Pourtant malgré tout ce qu'il avait fait j'aurais aimé qu'il soi vivant aujourd'hui, j'aurais aimé que ma fille connaisse ce que c'était d'avoir un père et une mère présent autour d'elle. Bien-sur la réalité était tout autre. La seule chose qu'elle avait connu pour le moment était une jeune maman paniquée face à une ville qui en voulait à elle et sa fille. Heureusement pour moi, nous avions du soutien d'une partie d'entre eux.

Tout d'abord, j'avais le soutien de mes parents qui essayaient d'être de meilleurs grand parents, qu'ils n'avaient été de parents pour moi. Ils venaient bien plus régulièrement en ville pour me voir moi et Maddie, et m'aidait financièrement le temps que je finisse mes études et trouve un travail. Hank Loomis, mon père biologique essayait lui aussi de m'accompagner dans cette étape qu'était de devenir parent. Lui aussi voulait devenir quelqu'un de bien et m'aidait à m'occuper de la petite quand j'avais cours. Il avait même aménager une chambre pour Maddie chez lui si jamais elle avait besoin d'être gardé le jour comme la nuit. Il se comportait comme un papi poule avec elle, et Maddie l'aimait énormément elle aussi. Après que la nouvelle ait éclatée, concernant le papa de Maddie, une nouvelle famille est entrée dans ma vie : les Macher. Eux-aussi voulaient faire partie de ma vie et apprendre à connaître ma fille. Après tout ils étaient eux aussi ses grands-parents, et tata. Je me suis très vite rapprochée d'eux, notamment de leur fille Leslie qui avait mon âge. Nous avons eu comme un coup de foudre amicale, on s'est tout de suite entendue. Nous vivions la même chose par rapport à Stuart, et nous nous soutenions dans les moments difficiles. On sortait presque tous les jours ensemble avec Maddie, pour aller au cinéma, faire les boutiques et bien d'autres. J'arrivais enfin à vivre à nouveau comme avant. J'avais retrouvée le sourire grâce à toute ma famille et bien sûr mes amis.

Sidney, Randy, Dewey et même Gale étaient eux aussi à mes côtés. On se traitaient tous comme des frères-soeurs après la tragédie. Nous avions tous failli mourir ce soir-là, nous étions lié à vie par ces évènements. Eux-aussi avaient été présent pour moi et Maddie. Ils nous défendaient face aux journalistes, même Gale évitait de parler de moi à la télé. Cela avait été difficile au début mais après avoir longuement parlé avec elle, elle a comprit. Même si elle le faisait tout de même de temps en temps c'était en général avec mon accord. Bien sûr les journalistes n'étaient pas mes seuls soucis, de nombreuses personnes me regardaient ou me traitaient mal car tous savaient qui j'étais. A l'université aussi il m'arrivait souvent de m'énerver ou de me faire rabaisser. Les jeunes de la ville connaissaient tous mon histoire. La vie n'était pas facile tous les jours, et pourtant ce n'était que le début d'une longue liste.