Sons of the Death [ SASUSAKU ]

Chapitre 19

Sakura

Je reprend légèrement conscience mais mes paupières restent fermées.

La première chose dont je suis sûre c'est que j'ai hyper froid. Je sens que je suis assise sur une chaise dure et gelé, sûrement en métal. Mes pieds sont attachés a la chaise ainsi que mes mains qui sont attachées fermement au barreaux de la chaise derrière moi, c'est vraiment douloureux. Je cligne des yeux et les ouvrent.

Je regarde autour de moi et constate que je me trouve dans une sorte d' hangar, le sol est dégueulasse et il y a une odeur nauséabonde qui flotte dans l'air.

Je reprends mes esprits à mesure que le temps passe. Qu'est-ce que ces types me veulent ? Je n'ai même pas réagis quand il a planté sa seringue dans le coup de Konohamaru, je sais pourtant me battre mais sous l'effet de la surprise et surtout contre des armes je n'aurai pas où faire grand chose.

Une porte s'ouvre et l'homme aux lunette entre.

– Ah ! la belle aux bois dormant est enfin réveillée ! Alors beauté tu est bien installée ?

– Qu'est-ce que vous me voulez ?

– Moi ? Je voudrais faire tellement de chose avec toi, si tu savais

J'avale difficilement ma salive, ce type me dégoûte avec ses propos pervers.

– Relâchez moi !

– Désolé Princesse, mais je t'ai emmener ici dans le but de  me venger de ton mec !

– Vous faites erreur je n'ai pas de copain !

– C'est pas ce qu'on ma dit...Et dire que ce connard d' Uchiwa se tape une beauté pareil soupir t-il

– Que.. mais je ne suis pas avec Sasuke !

– Ça ne sert à rien de mentir princesse,  je sais que tu te tapes le président des sons of the death.

Je baisse la tête.

Mais comment ce gars est-il au courant, je ne l'ai jamais vu auparavant et avec Sasuke il ne c'est pratiquement rien passé.

– Bon  asser bavarde et si on jouait un peu tout les deux !

Je me débat sur ma chaise, la corde qui retient mes mains est en train de me lacérer les poignets.

Je vois cet homme ce dirigé vers une petite table où plusieurs instruments y sont exposés que je n'avais meme pas remarqué. Il en attrape un et se retourne vers moi en souriant.

Je me fige lorsqu'il s'approche de moi en tenant dans ces mains un genre de couteau suisse. Je me débat encore plus fort, mais rien à faire les liens sont beaucoup trop serré et le moindre mouvement m' écorche la peau des poignets.

Il se penche vers moi et fait parcourir la lame de son couteau sur ma joue puis co tenue son mouvement en dirigeant son arme sur mon bras droit qu'il commence à entailler. Le sang perle légèrement, la coupure n'est pas profonde mais la déchirure de mon épiderme me provoque une douleur désagréable. Son air sadique me regarde et il faut de même sur mon bras opposé.

La douleur est vive mais je ne veux pas lui donner la satisfaction de le supplier ou de lui dire d'arrêter, je décide donc de serrer les dents et de le regarder droit dans les yeux.

– Eh bien, je suis impressionnée beauté ! J'ai déjà torturé quelques femmes et elles ont à chaque fois supplié de les épargner avant même que je commence. Mais je sens qu'avec toi je vais vraiment m'amuser

Il s'éloigne de moi se dirige vers la table pour y deposer son couteau repose et sort de la pièce. Me laissant là, morte de froid, de peur et mon sang qui s'écoule lentement de mes bras.