Salam aleykum.
J'espère que tout va bien chez vous.
Par la grâce de DIEU alhamdulilah !Les moutons qui ne votent pas mais qui s'empressent de brouter l'herbe je vous salue 😏😏😏
Merci aux sapiens sapiens qui votent je vous promet un cocktail de délice tourbillonnaire dans ce chronique .
Bonne lecture ♥️
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Des souvenirs...
Quand les mauvais choix conduisent au fanatisme,
Les regrets enveloppent notre univers.
La bonne personne qu'on aurait aimé être semble nous narguer ,
Inaccessible au loin
Comme l'horizon
Proche mais loin comme la mer
Dans un silence profond
Gravite le poids d'une larme
Une larme qui tombe
Lorsqu'on regarde l'invisible
Ce réflexe que mère nature nous a doté.
Pour oublier les tourments, le cœur solitaire est couvert d'un sourire duveteux.
Chaque parcelle de notre âme abreuvé d'amertume.
La levée du soleil projetant de faible rayon orangeâtre dans cette demeure annonçant une journée en cendre .
Un orage qui annonce une violente tempête.
Une tempête qui perturbera l'écho des songes .
L'émotion, l'amertume, le seum , noient la maison par l'écume
Vers les profondeurs de la souffrance.
Les larmes coulent à coups sourds
Jusqu'à l'orée de l'ultime souffle des prémonitions.
Ce vide qui s'installe dans notre cœur n'est que langueur.
Les pleurs censées adoucir le cœur, nous plonge dans les méandres d'une douleur profonde .
Cette famille aristocratique, aurait aimé que les ténèbres se dissipent, pour laisser place à une journée ensoleillé.
Mais les ténèbres aux ressacs furieux et sonore , caractérisent maintenant leur existence.
La famille kâ en deuil de leur patriarche, le chef de famille.Bachir kâ !
Décédé il y'a une semaine , le premier ministre.
Une semaine qu'une tragédie brutal et sinistre a fendu le peu de bonheur qui y régnait.
Un big-bang, qui résonne encore dans le manoir de l'ancien pm
Laissant une douleur convulsif
Un firmament où la souffrance erre
L'amertume rugit et clame
Déchirant leur paix et foudroie notre bien-être.
Un fléau de douleur s'ingure en nous, impétueusement et formidablement.
La mort nous guette dans un chemin de silence.
Une laps de temps
Une tierce
Une seconde
Une minute
Une heure,
Où nous serons congelés par elle
Où elle nous captive dans un sommeil éternel
Nous embaume de l'odeur analgésique terrestre .
Certains voient la clarté du jour, accueillie par la lumière du bon matin , vaquent à leurs occupations sans se poser la question s'ils auraient pu mourir la nuit. Ils s'en foutent.
D'autres restent de nuit, le souffle court, se répriment et se taisent pour toujours.
Des lambeaux insipides de temps
Qui marbrent dur et lacère.
La peau qui n'est plus que cuirasse
Au fond d'un trou étroit et sombre
Où seul nos actions nous accompagnent. Qu'ils soient bonnes ou mauvaises .Dans la grande cuisine des kâ, une femme, qui auparavant on croyais morte , prépare de la bouillie de mil pour sa belle sœur aînée, l'épouse du défunt Bachir.
Elle pénètre dans la chambre de cette dernière, ses deux enfants de part et d'autre à côté de Amber, couchée sur le lit, le corps moite , branchée à des fils .
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Désillusion
Hayran KurguLeur destin enchevêtrés, une vie péricliter où la personne en qui qu'on a plus de confiance nous valdingue subrepticement. Un monde ubuesque, un existence dérouté, une vie croquignolesque, mirifique. Un monde d'où est pondu, des menteurs hubris. Bi...