ৎ🍱것. jour un ━ nuit

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🍶𓂃⭑ᜊ fandom : danganronpa v3
🥞༉‧₊˚ ship : aucun

tw : humour cringe 


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La terre eut évitée une catastrophe par on ne sait quel miracle cette nuit-là. Le soleil se couchait, projetant ses derniers rayons sur l'eau sombre du lac qui gisait sous le ponton reliait au chalet, laissant une dernière trace de sa douce lumière avant de disparaître pour les prochaines heures.

Le vent soufflait doucement faisant bouger les brindilles des sapins dans l'air. Les oiseaux s'envolèrent de leurs nids. La clarté disparue peu à peu, les étoiles se mirent à briller dans le ciel devenant de plus en plus sombre, les nuages roses s'effaçant.

Les lumières à l'intérieur du chalet s'allumèrent soudainement, le silence emplit la forêt, les oiseaux avaient complètement disparu, leurs gazouillements s'étaient arrêtés. Et puis un bruit de fracas fit vibrer l'habitation en bois.

— AYAYAYA, une voix s'exclama soudainement.

— KAITO FERME TA GUEULE.

— C'est qui qui a fait tomber le vase...?

La nuit aurait certainement été plus paisible si une certaine blonde n'eut pas l'idée de passer une nuit entière avec ses amis dans un vieux chalet abandonné dans une forêt peu accueillante. Ladite blonde qui arborait une poitrine si grande qu'elle narguait son intelligence et ses compétences en piano si bancales qu'un radio-réveil sonnant à 4 heures du matin serait plus mélodieux que ses affreuses composition n'était autre que la tant détestée Kaede Akamatsu.

En effet ce n'est pas pour rien qu'elle était bâillonnée et ligotée dans le grenier, la porte de celui-ci fermée à triple tours.

Malheureusement, l'enfermé n'aurait pas servi à grand-chose. Kaito courait dans le chalet tel un bambin ayant été drogué au sucre et une assassin professionnelle lui courait après, une flèche encochée dans son arc, visant droit vers le fessier de l'adolescent.

— Les gars, calmez vous..., et ce ne fut sous les plaintes désespérées de Shuichi que le calme s'installa.

En effet, un cocktail molotov venait d'être lancé sur la fenêtre du chalet, la brisant en éclat, atterrissant à l'extérieur, sur le gazon qui prit rapidement feu. Évidemment, le petit nain égocentrique d'une perversion narcissique assez inquiétante, souffrant d'une folie des grandeurs si immense qu'elle faisait languir sa taille si médiocre accusa directement le nain encore plus petit que lui à sa droite.

— C'est Ryoma !!

— Non, c'est la reine d'Angleterre, répondit immédiatement celui précédemment nommé par Kokichi.

— AHH SON FANTÔME VIENT NOUS HANTEEEER. Nishishi.

Le gazon prit feu. Les flammes se répondirent dans la forêt, léchant le tronc de l'arbre, jusqu'à atteindre leurs branches et leurs cimes. Le feu se répondit à des hectares plus loin, narguant la Colombie-Britannique et on l'espère, attendra la ville et la réduira en cendre.

Depuis ce jour, ces seize jeunes-là comprirent une chose : en dehors des cours, dès qu'on les regroupait, il y aurait toujours au moins mille morts. Paix aux âmes qui n'eurent grand travail à finir dans leurs urnes. Cette nuit restera gravée à jamais dans la mémoire des quelques rares dizaines de malheureux vivants.


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pardonnez mon humour éclaté au sol tellement violemment que celui-ci en est fissuré.
oui, j'avais un peu la flemme d'écrire cet os
...
petit rappel : seule une petite personne est en droit de se moquer de la taille d'une autre petite personne. les gens de 1m80, allez là-bas. 

𝐒𝐇𝐈𝐏𝐓𝐎𝐁𝐄𝐑 𝟐𝟎𝟐𝟑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant