Leurs Obsessions

chapitre 14

POV Aïda

Mariam : je suis contente que tu ne passe pas la nuit encore,.. tu ne dois pas aimer l'hôpital n'es ce pas ?

Salif : ne dis pas de bêtises voyons... personne n'aime les hôpitaux !.

__ où est mon cellulaire ?

Salif : ton portable est avec iba ta néné lui a remis,..euh.. sinon ça va ?.

__ wai comme sur des roulettes,...on peut partir maintenant ?

Ils acquise et on signe les formalités et quitte l'hôpital.

Pendant le trajet...
18heure.

__ tu peux me déposer à mon appartement.

Salif : au fait j'ai beaucoup de ch-

__ c'était pas une question.

Je le vois serré les poing, et sa femme l'insite de se calmer avec une massage au bras qui n'était pas sur le volant.

__ euh Mariam j'ai aussi mal au dos hein, dis-je pour le mettre en plus hors de lui.

Mariam : t'inquiète j'ai un huile essentielle à la maison, c'est très efficace pour les mal de dos,

__ merci beaucoup ma femme,

30munite

Salif : c'est bon descend de ma voiture,

Mariam : SALIF !.

__ c'est n'es rien Mariam,....au moins tu sais maintenant que c'est un Faux gentleman,

Salif : c'est bon Aïda, je suis pas d'humeur,

__ ouvre moi la portière, imbéciles.

Salif : répéte encore pour voir ?

__ tu entends par les fesses ou quoi ?.. j'ai dit que t'es qu'un imbéciles, un con.

Salif : cette fois il aura personne pour m'arrêter, dit-il en ouvrant sa portière.

Quand il ouvre la mienne, je sort et lui tapote l'épaule.

__ tu vois quand tu le veux,

Salif : un de ses jours, tu verras comment je vais te massacré, dit-il les deux mains près de ma gorge,

Ne me dit pas qu'il à l'intention de l'étrangler.

Je me rapproche de ses mains jusqu'à ce qu'il me touche la gorge, si quelqu'un nous vois comme ça, il va dire que Ibrahim m'etrangle.

__ aller excause ton souhait le plus chère, vas-y !,..par ce que.. un jour si c'est moi qui est en position de force je ricane..., crois moi je vais pas te loupé, je le dégage de mon chemin, prend le direction de mon appartement.