Chapitre 1

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Je noue la serviette autour de la poitrine et sort de la salle de bain.

: Tu fais quoi ?

Je me retourne et le regarde allongé sur le lit, un drap couvrait le bas de son corps.

_ je m'en vais.

Je laisse tomber la serviette et commence à mettre de la pommade.
Un instant je le sent derrière moi et il donne des baisers sur mon épaule droit.

Lui : reste encore un peu hum?,en plus tu n'a rien à faire, dit-il en mordillant mon cou.

Je me retourne et le fixe.
Maintenant mes seins sont exposés devant lui, il ne perds pas de temps commence à les malaxé .

_ qu'es ce qui t'arrive ce derrière temps ?

Ils ne me répond pas, occupé à me touché comme si c'était la première fois.

_ ARRÊTE !, il faut qu'on parle de ton comportement, dit je hors de moi.

Lui : je vois pas de quoi tu parles.

_ Bashir !

Bashir : je vais me doucher, dit-il en fuyant la discussion.

_ tchuip

Bashir : je t'ai entendu !, dit-il depuis la salle de bain.

Je remets la robe et attend qu'il sort.
Je regarde mon téléphone et voit trois appel manqué de fatou, je passerai chez elle plus tard.

:Tiens !, fit-il en me tendant un document.

_ c'est quoi ?, dit je confuse.

Bashir : regarde, dit-il en mettant les boutons de sa chemise.

Je regarde et c'est des titres de propriété.

What?

_ tu m'expliques ?

Bashir :ce sont les titres de propriété comme tu le remarque, si tu regardes bien y'a n'a trois ils sont tous à ton nom, l'un se trouve ici à Bamako et les autres dans les régions.

_ t'es sérieux ?rit nerveusement.

Je me lève pour être sa hauteur.

_ je t'avais dit depuis longtemps, ton argent,tes bien, je m'en moques je peux m'offrir tout ça !, dis-je en lui prenant les mains et dépose les titres dans celle-ci.

Bashir :Aïda n'importe quelle femme aurait sauté sur l'occasion, alors prend le... c'est un cadeau.

Je le répond pas, prend mon sac pour sortir de la suite.

Arrivé dans le couloir de l'hôtel, je vois des gens chuchoter en me regardant.
Quand est ce que les Maliens vont savoir que la vie des gens n'es pas leurs vies ?.

Je rentre dans la voiture et me rends chez Fatou.

30munite Plutard

_salam ici, dit je en rentrant dans le salon.

Elle était assis un verre de vin blanc dans les mains.

Fatou : tu te souviens que t'a une sœur tchuip.

_ j'étais  occupé ok!, maintenant suis tout à toi.

Elle se lève et reviens avec un verre, me sert.

Fatou :si par occupé tu parles de ton partie de jambes en l'air avec ton chabir là, épargne moi les détails, dit-elle avec un regard de dégoût.

Leurs Obsessions Où les histoires vivent. Découvrez maintenant