chapitre 18

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Aïda Sangaré

Mes paupière peinent s'ouvrir.j'ai la tête lourde, je m'étire la nuque en levant ma tête au ciel, j'aperçois un énorme luminaires blanc en forme de fleur, suspendu, la lumière me brûle les yeux.

Je cligne les yeux plusieurs fois, puis rouvrir mes paupière. J'examine autour de moi, je suis en plein milieu d'une immense pièce,qui m'est totalement inconnu,

Je me lève lentement du lit, je ne fais pas deux pas que je tombe par terre,

__ ma tête..

J'entends des bruits de pas et la porte s'ouvre,
Je suis toujours par terre et une paire de chaussure se met à côté de mon bras qui me soutenait pour le pas être à plat sur le ventre au sol.

Deux bras puissant m'aide à me relèver et me porte jusqu'au lit.

__ qu'es ce que tu m'a donné ?, dis-je la gorge sèche.

Il ne me répond pas, occupé à me servir un verre d'eau de la la carafe sur le commode.

'il pense que je vais boire ça !?

Quand il me le tend je pousse le verre qui lui échappe et s'éclate sur le carrelage.

Il secoue la tête comme s'il s'attendait à celà de ma part.

Il se lève et disparaît dernière une porte qui était dans la pièce.

Je regarde tout pendant qu'il n'était pas là, cette pièce est tellement grand, bien décoré comme si c'était moi qui l'avait faite bizarre, la couleur et tout..
Malgré que je viens d'une famille riche je n'es jamais vu une pièce pareil,.... aucune chambre dans notre maison est comparable à celle là... vraiment.

Je sort de mes pensées par l'arrivée de Bashir qui tenait un carton dans ses bras.

Je recule  qu'à la tête du lit, imaginant le pire..

S'il voulait me tué il l'aurait fait pendant que je dormais n'es ce pas ??.

Mais à ma grande surprise, il sort un verre comme celui que je venais de brisé,

Il me le tend après avoir rempli à moitié d'eau,

Je le prends et le lance sur le mur, il ricane et sort un autre verre du carton,

Bashir : tu sais mon amour... je ne suis pas patient mais avec toi je le serai, il porte le verre à mes lèvres.

Je bois dans le verre d'eau quand j'ai pris conscience qu'il y'a n'avait plein d'autres dans le carton et que Bashir est têtu comme moi.

__ où est ce qu'on est ?.

Il caresse ma joue, je tourne la tête

Bashir : nous sommes à Siby.... c'est génial n'es ce pas ?,

__ pourquoi ?

Il me regarde confus

Bashir : pourquoi quoi ?

__ qu'es ce que tu veux ?

Bashir : tout... tout de toi,.. je veux ta joie,...ta peine, tes larmes,ton sourit...ta haine.. et surtout ton amour.

Je le regarde pétrifié, donc wallet avait raison ?!.... et dire que pendant un instant j'avais douté de sa parole..

__ tu es fou, ....oui c'est cela..

Il ricane et caresses ma cuisse, j'ai voulu le retirer mais il l'es tient fermement,... je grimace de douleur.

Bashir : Ne me repousse pas, tu sais très bien que je veux tout le temps avec du contact avec toi,... tu es ma drogue Aïda.

Leurs Obsessions Où les histoires vivent. Découvrez maintenant