chapitre 22

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Point de vue Mariam

Salif cours pour s'accroupit prés de sa mère....

Salif : maman... maman réveil toi je t'en prie..

Il lève sa tête à ma direction, je recule de peur sous l'intensité de son regard...

__ j'ai rien fait, je te le jure wallahi...

Salif : Bouba... Bouba, dit-il en appelant le gardien..

Celui-ci arrive en courant..

: Oui patron...

Salif : aide moi,on va à l'hôpital, il porte ma belle mère et sort du salon,...

Je part mettre mes Sandra et prend mon sac....

__ Bouba où est mon mari ?, dis-je en voyant plus son voiture...

Bouba : il est parti,moun de kera moussôkôrôba là ??.

__ a ka soubakaya der daminêna, je dis pour faire court.

Je sors de la cour et arrête un taxi ..

__ s'il vous plaît, à l'hôpital Luxembourg...

Je suis certaine que c'est là-bas qu'il l'amène..... c'est sûre.

Arrivé à la destination je donne 1o.ooof au taximan sans reprendre le monnaie....

__ s'il vous plaît, la chambre de madame Sangaré....

Réceptionniste : Madame Sangaré est au urgence pour le moment..

C'est aussi grave que ça ???....ho mon Dieu.

Je marche dans les couloirs comme une mort par ce que, je sais que je suis foutu,... je vais avoir de l'énorme problème c'est certain.

: Qu'es ce que tu fais ici ?

__ écoute Salif, c'est pas ce que tu crois...

Salif : mais bien sûr, je l'ai vu de mes propres yeux, personne ne me l'a raconter, il me tire par le bras.

: Salif lâché la mais ça ne va pas ??,dis mon beau père qui venait d'arrivée.

Salif : personne ne m'empêchera de corrigé cette idiote, il me pousse et je tombe par terre,.

Les gens qui au début passait dans le couloir, s'arrête pour voir la suite...

Beau père : ça va pas ?, il m'aide à me lever, tu vois pas que les gens te regarde ressaisi toi, chochotte t-il.

Je ne osait pas lèver la tête, j'avais tellement honte,par ce que même certains infirmiers se sont arrêter pour regarder la scène..

Salif : non, cette fois-ci je vais pas t'écouter, cette femme mérite de souffrir pour ce qu'elle a fait à maman..

__ je n'est rien fait j...

Salif : tais-toi, dit-il en me giflant.

Je tombe encore par terre sous la force de la gifle.

Certains personne crie sous le choc de cette soudain violence.

Beau père : SALIF ??.... tu n'a pas osé ?, dit-il en colère.

Mon beau voulais venir à ma direction, mais il s'est fait pousser par son fils qui était devenu fou...

Beau père : SALIF... moi ton père tu me porte main ?, dit-il sous le choc.

Leurs Obsessions Où les histoires vivent. Découvrez maintenant