Un petit bout de moi...

Utopie

Si tout pouvez changer que feriez vous ?
Si vous pouviez tout recommencer que changeriez vous ?

Maintenant imaginez que l'on vous offre cette opportunité, mais il y a une seule contrainte vous n'avez pas le droit de révéler pourquoi et d'où vous venez.

Un matin tu te réveille, dans ton lit comme tout les matins, mais ce matin ce n'est pas ton réveil qui a sonné pour te rappeler que tu es encore en vie, pour t'annoncer une nouvelle journée en enfer, non tu t'es réveillé parce que ton corps avait suffisamment d'énergie pour la journee, il y a cette lettre accroché sur la poignée de ta porte avec un ruban blanc, tu te lève tu récupère cette lettre sur laquelle ton prénom est inscrit :

«Astrid »

Tu t'assoie en tailleur sur ton lit et l'ouvre doucement intriguée, et tu lis ce qu'il y a écrit :

«Astrid,

Aujourd'hui est ce que l'on peut appelé ta libération, si tu l'accepte,
Aujourd'hui nous t'offrons la possibilité de disparaitre de ce monde, de vivre dans ton utopie,
Aujourd'hui un jour qui ressemble d'apparence a un jour banales nous te libérons de tout ce que tu as vécu tu pourras changer ton destin,
Aujourd'hui vis ta vie comme tu la toujours voulu.

Une seule contrainte: Personne ne doit savoir que tu as créé cette utopie, personne ne doit savoir que tu ne vien pas de cette utopie.

Accepte tu ? »

Tu relis la lettre plusieurs fois, tu cherche le piège, mais il n'y en a aucun, tu te lève et te dirige vers ton armoire l'observe longuement rien a changé, tu t'habille simplement, attrape un stylo et signe en bas de la feuille, mais toujours rien.

Ta journée c'est passé comme absolument toutes les précédentes, l'heure de te coucher arrive et tu rentre dans ta chambre, rien a changé, hormis la lettre qui a disparut, et tu te dis :“Ce n'était qu'une blague ou un rêve "
Tu te couche comme si de rien n'était, c'est exactement ça rien n'étais ce que tu avais rêvé du moins de ton point de vue.

Le lendemain tu te réveille dans un lit qui n'est pas tiens dans une pièce qui ressemble a ta chambre de rêve, de nouveau une lettre sur la porte accroché par un ruban blanc, tu recommence don la même chose tu te lève, la récupère, te réinstalle, sur le lit, et tu l'ouvre, puis tu commence a lire :

«Bienvenu Astrid,

Dans ton univers, dans ton Utopie, dans tout. Rêve devenu réalité.

Bonne continuation. »

Simple mais efficace, tu entends quelques bruits, puis une odeur alléchante de ton petit déjeuner préféré, des crêpes. Tu ouvre une porte ce trouvant dans la chambre et tu trouve un dressing, tu en ouvre une autre et tu trouve la salle de bains, puis la dernière porte qui donne sur un couloir que tu traverse en ouvrant chaque porte curieuse de ce que tu vas trouver, un bureau, une autre chambre, une salle de détente, il te semble, un salon, puis tu entre dans une salle a manger, qui donne sur une cuisine américaine ouverte, et un homme qui ne porte seulement qu'un sou vêtement, tu rougis, il se tourne, et tu reconnais ce gars pourquoi tu as longtemps craqué, mais avec qui il n'y avait jamais rien eu, il te souris et te tend une assiette de crêpes qui semble encore chaude il t'embrasse la tempe en soufflant :«Je voulais te l'amener au lit, bon matin, bebe », tu rougis et chuchote un simple ''merci'' .

Tu mange tes crêpes alors qu'il disparu hors de la pièce. Tu leva les yeux vers la baie vitrée, regarda le ciel, et souffla un second merci.

Mais tout ça n'est pas réel, c'est éphémère, alors tu en profite, jusqu'à recevoir une nouvelle lettre:

«En acceptant cette utopie tu as oublié ta vie d'avant»

Tu n'y avait pas fait réellement attention, et l'avait rangé avec les deux précédentes.

Mais les choses ont commencer a ce dégradées, tu perder la tête ,puis une nouvelle lettre arriva :

« Astrid,

Tu devrais savoir avec le temps que l'on ne doit jamais faire confiance a quelqu'un qui vous promet la lune.

Toute bonne choses ont une fin.

-Satan »

Tu couru et regarda les autres lettres elles aussi signées par Satan, tu n'y avais pas prêter attention trop heureuse de pouvoir changer de vie.

La dépression pris raison de toi.

Fin.