<Le vulgaire croquis entiché d'une oeuvre d'art>
Tatouages indélébile et cicatrices irrémédiable,
Il s'était ancré à l'amour sur mon coeur,
Et se permettait de jouer avec mes sentiments...
Se moquant sûrement de devenir indispensable.
À mon esprit et à mon âme.
Je voyais son visage sur la face blafarde de la lune,
Et dans les formes abstraites des nuages,
Et lorsque je m'évaillais, c'étaient ses yeux,
Et non les miens que je croisais dans le miroir.
Il était infernal de vivre à travers quelqu'un d'autre,
Et pourtant, je ne pouvais lui en vouloir:
Il n'avait jamais demandé à ce que je le désire.
Jusqu'à en oublier ma propre existance.
Je subsistais à travers lui; alors à l'appel,
C'était son nom que j'attendais désespérément
À la place du mien, et dans la rue c'était son parfum
Que je retenais parmi des centaines d'autres...
Je m'endormais le soir ne sachant plus qui j'étais,
Rêvant de son regard bleuté, pleurant inlassablement
Son absence...
Et lorsque je ne dormais pas, son visage m'apparaissait.
Comme par magie,
Inextirpable de mes pensées ou de ce qui m'entourait.
J'étais tombée amoureuse, je m'étais fracassé le crâne
A en devenir dépendant; comme un vulgaire croquis
S'entichant d'une oeuvre d'art, ou de l'illusion futive
A laquelle on fait allusion.
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Un petit bout de moi...
RandomJe ne dirais pas que je suis barge, Dingue, où que j'ai besoin d'un psy, mais... * Attendez on me dit que je dois enlevez la négation. * Capharnaüm de mots, de pensées, de textes. Bonne Lecture ! du moins si vous lisez.