« Léna. »
<< « - Dis Léna, tu fous quoi là-haut?»
Putain qu'elle était belle Léna. Elle était l'étrangeté dans toute sa splendeur, la bizzarerie entière. Mais putain c'qu'elle était belle.
- J'regarde les étoiles.
Elle était tout sauf normale, Léna. Complètement incohérente. Mais ça lui allait bien, l'incohérence. (Tu es tellement étrange.)
- Il est 14h12 sale naze. Y'a pas d'étoiles.
Il n'y avait pas d'étoiles mais il y avait le Soleil. Ce même Soleil qui faisait briller la sueur perlant sur son front, à Léna; ce même Soleil qui faisait pétiller ses yeux. Il n'y avait pas d'étoiles mais il y avait cet astre de feu qui la rendait resplendissante. (Tu es magnifique sous les rayons du Soleil.)
- Bien sur que si. C'est l'Soleil qui les éblouient, du coup elles se cachent. Mais elles sont belles, et bien présentent. Elles étincellent et ornent le ciel. Et elles sont humble. C'est pour ça que le jour elles se font petites et laisse place à cet astre doré que tu nommes Soleil. Il est orgueilleux lui. Il ne laisse place ni aux étoiles, ni à la lune, et encore moins aux nuages: lorsque ceux-ci se fraient un chemin, ils les transpercent de ses rayons comme un coûteau brûlant. Quant aux étoiles, elles attendent patiemment et modestement leur tour d'entrer sur scène, lorsque l'Orgueilleux ira s'endormir tout en se ventant d'avoir briller tout le jour; mais elles, elles prendront place tranquillement, et si les nuages s'invitent, elles les convieront à se joindrent à leur danse immobile, à leur magnifique spectacle, durant la nuit. J'aime admirer les étoiles lorsque personne n'est capable de les voir.
Scotchante. Léna elle est épatante, stupéfiante. Déboussolante. (Tu me fais tourner la tête en me retournant le cerveau.)
- Allez descends, t'as l'air conne.
Bluffante. Tellement intelligente que peu de personnes la comprennent. Elle est intelligente Léna. Elle a tout sauf l'air con, et moi je ment. (Je te ment, pardonne-moi.)
- Dis-le moi.
Je ne comprends pas tout. Je ne comprends rien, je suis hyptonisé par elle et ses foutues étoiles à la con. (Je suis un idiot face à toi.).
- Descends de là.
Elle ne bouge pas. Elle ne me regarde pas. Elle parle aux étoiles silencieusement. (Descends et regarde-moi ainsi, embrasse-moi comme tu embrasserai la Lune.)
- Je m'appelle Léna.
Elle s'appelle Léna et je n'sais pas pourquoi elle me dit ça. Mais ses mots tintent agréablement à mes oreilles, quoiqu'elle dise. (Dis n'importe quoi mais parle-moi. Je ne m'en lasse pas. Je ne me lasse pas de toi, Léna.) >>
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Un petit bout de moi...
RandomJe ne dirais pas que je suis barge, Dingue, où que j'ai besoin d'un psy, mais... * Attendez on me dit que je dois enlevez la négation. * Capharnaüm de mots, de pensées, de textes. Bonne Lecture ! du moins si vous lisez.