Mon coeur est noir comme les cendres, mes sentiments sont des copeaux de souvenirs qui s'envolent avec le vent.
Trois heures moins la mort.
Ils me hantent, ces moments. Ils me chantent, tout doucement.
Que la nuit combat le jour, dans une guerre sans retour.
Les oiseaux volent dans l'obscurité voilée, camouflant ses larmes de nuages décolorés. Le vent souffle sur ma peau qui souffre, je sens en moi-même, un tsunami de haine. Envers toi, envers lui, envers le monde, le monde entier, à présent bohème.
Les gouttes de pluie murmurent leur ennui, leur détresse et bien trop aisément toute leur tristesse. Il y a de cela des années le soleil s'est caché, comme par enchantement, les âmes sont parties en volant.
Au paradis de la mort, je demande grâce. Après une valse avec Lucifer, mon père. Au labyrinthe des émotions, je demande pardon, à la lueur inexistante du souffle de ma bouche haletante.
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Un petit bout de moi...
RandomJe ne dirais pas que je suis barge, Dingue, où que j'ai besoin d'un psy, mais... * Attendez on me dit que je dois enlevez la négation. * Capharnaüm de mots, de pensées, de textes. Bonne Lecture ! du moins si vous lisez.