Les Vacances

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Pour les vacances de La Toussaint, Sophie a proposé que nous partions une semaine dans les forêts norvégiennes. Perdu au milieu des arbres pendant une semaine, éloigné de toute civilisation. Elle était tombée sur la pub de la société Slot qui proposait d'organiser totalement le voyage. Le vol attirerait le dimanche soir vers 22 heures, un chauffeur nous attendrait et nous emmènerait au chalet et viendrait nous rechercher le dimanche suivant. Le chalet est approvisionné pour la semaine, et même plus au cas où. Pour parfaire notre voyage, la société nous a demandé d'envoyer nos bagages une semaine à l'avance.

Le dimanche 22 octobre, tout est prêt ! Nos valises sont arrivées au chalet, il nous reste plus qu'à partir pour Paris Charles de Gaule. Nous franchissons la porte quand Sophie s'exclame.

- Hum attend, Jean, j'ai oublié un truc ! Je reprends les clés. Non, ce n'est pas à l'intérieur. Me coupe-t-elle. Mes sourcils se lèvent, le regard interrogateur. Ta cage ! Il faut que je te l'enlève sinon tu vas sonner ! Aller baisse ton pantalon et ton caleçon !

- Là ? Sur le palier de l'immeuble, tu ne veux pas qu'on rentre et puis après, on va la mettre où ? M'indigne-je ?

- RHhho, arrête de faire ta chochotte, c'est bon y a personne, on est dimanche matin, et puis on la mettre dans notre boîte aux lettres en bas !

Sans plus tergiverser, Sophie baisse mes habits mettant PoPaul à nu devant tout le monde. Elle récupère la clé de la cage à son bracelet de cheville et la déverrouille. Ma tête parcourt tout l'étage, je me mets à prier tous les dieux qu'aucun voisin ne débarque maintenant. Le temps est ralenti pour moi, la cage n'est pas si longue à enlever normalement !

- Hé ho ? Jeaaaaan ? Tu comptes remonter ton pantalon, ou tu attends qu'un voisin arrive ?

Sophie est debout, la cage dans ses mains, j'ai dû louper une étape. Je remonte mon pantalon et nous nous dirigeons en bas de l'immeuble. Sophie dépose la cage dans la boite aux lettres, puis direction la gare pour notre train.

Le voyage est éreintant. Quand notre chauffeur nous a déposé nous n'avons pas demandé notre reste et nous sommes allés au lit. Quand je me réveille, Sophie est déjà debout, d'ailleurs, elle se tient au-dessus de moi. Je tente de l'embrasser, mais elle me repousse avec son index droit, sa main gauche s'élève au-dessus de la couette. Une nouvelle cage apparaît alors devant mes yeux. Sophie retire brutalement la couette qui me recouvre et me retire mon caleçon qu'elle balance, comme à son habitude derrière elle. Sauf que cette fois-ci, c'est une cheminée qui est plantée derrière elle. Le tissu s'embrasse d'un coup, je me précipite sur le seau à côté de la cheminée prévu pour ce genre d'incident, mais le mal est déjà fait. Le caleçon est totalement calciné. Un blanc s'installe entre Sophie et moi, ni elle ni moi ne régissons. Après de longues secondes, je me mets à rire de la scène, Sophie se met à rire aussi, après tout, ce n'est qu'un caleçon. Après un bon fou-rire, je propose que j'aille prendre une douche puis qu'après je remette ma cage. L'eau réchauffe mon corps, quelle sensation agréable. À peine un pied hors de la douche, que Sophie se tient devant moi avec la cage. Je me laisse faire et mon sexe se retrouve de nouveau enfermé. Je me sèche, je me dirige vers ma valise et ... et, et pas de valise. J'appelle Sophie, on fait huit fois le tour du chalet, rien, la seule valise présente, c'est celle de Sophie. On appelle la société, une seule valise est arrivée à Oslo. Comment faire, je ne vais pas me balader à poils toute la semaine ? Sophie fouille dans sa valise et me tend une de ses culottes roses. Devant mon regard interlocuteur, elle m'explique :

- Il faut bien d'habiller non ? Tu ne vas pas rester tout nu toute la semaine ? On ne peut pas aller en ville, alors la seule solution, c'est que tu portes mes vêtements alors tiens, mais ça. Elle me balance sa culotte dans la tronche. Abasourdis par ce qu'il se passe, je la mets. Elle couvre à peine mon sexe et s'enfonce dans mes fesses. Étrangement, peu de ses vêtements me vont correctement. Je me retrouve à porter une jupe rose que je transforme en mini-jupe et un tee-shirt rose que je porte comme un croc-top. Pour encore plus m'humilier " I'm Princess" est écrit sur le tee-shirt. Une fois totalement habillé, Sophie se met à rire.

- Tu es super mignonne Jean ! Ricane-t-elle ?

- Ha, ha, très drôle, t'es sûr qu'il ne vaut mieux pas que je reste nu, ça va déformer tous tes vêtements.

- Mais non, t'inquiète. Tu sais que comme ça, tu as une dégaine de Sylvie ? Je ne relève même pas sa pique.

- Mais qui prend une jupe pour aller en Norvège en hivers ? Demande-je.

- Je ne sais pas, j'avais envie ! Tien Sylvie, j'ai envie d'un café ! Je reste stoïque devant sa réflexion. Elle se lève et se dirige très lentement vers moi. Sa main passe en dessous de la jupe et sans trop cherché arrive à mes bourses. Elle réitère sa question, mais cette fois-ci en caressant très doucement mon scrotum. Comment refuser ? Quelques minutes, plus tard, Sophie tient une tasse fumante du liquide noir.

- Merci Sylvie. Tu sais ce qui me réchaufferait Sylvie ? Elle retire le plaid et écarte les jambes. Son vagin nu apparaît comme par magie devant moi. Je souris, je crois que je commence à comprendre notre semaine de vacances dans ce chalet. Je m'agenouille et commence le travail avec ma langue. Les gémissements se multiplient, elle colle ma tête un peu plus contre son entre-jambes. Une seule pensée me vient ; "La semaine va être longue pour Sylvie."

Kinktober 2023Où les histoires vivent. Découvrez maintenant