Kinktober 2023

Soumis à Elle

Cela fait maintenant 2 ans que Sophie m'a imposé la chasteté. Il faut dire que cela a changé énormément de choses dans ma vie, mais aussi dans ma relation avec Sophie. Petit à petit, elle a réussi à me soumettre, je suis devenu l'objet de ses fantasmes, et il faut que dire que cela me convient parfaitement. Je me suis totalement habitué à la chasteté, au plaisir anal, à donner du plaisir à ma partenaire sans jamais utiliser mon pénis. Elle m'a totalement transformé, étape par étape, semaine après semaine. En revenant de Norvège, elle a continué de m'appeler Sylvie, j'ai continué de me travestir d'abord de temps en temps, puis en peu plus régulièrement, puis tous les dimanches, jusqu'à être Sylvie pendant les week-ends et les vacances. J'ai rasé tous mes poils, laissé pousser mes cheveux pour être comme une véritable femme. Enfin, Sophie est devenue plus que ma copine, elle est devenue ma Maîtresse.

Pour ce week-end, Sophie a décidé d'aller à l'Exposition Universexe près de Strasbourg et pour la première fois, m'a ordonné de me travestir pour y aller. Nous ne l'avions jamais fait en public. Sophie prépare mes habits et nous partons en train le vendredi soir. Le samedi matin, réveil militaire, Sophie pose une poche de glace sur mon pénis encore tout endormi pour me réveiller moi. Elle me tend ma tenue du jour, et me presse de m'habiller. Une paire de chaussettes hautes rose remonte jusqu'à mes genoux, une minijupe rose et noir très courte couvre mes parties génitales, c'est d'ailleurs le seul vêtement qui les recouvrira, ça fait longtemps que tous mes sous-vêtements ont brûlé. J'enfile ensuite un crop top, lui aussi rose, avec écrit en argenté " I'm Bitch & Love It", le message ne peut pas être plus clair. Avant de sortir de la salle de bain, j'ajoute une paire de prothèses mammaire. Quand je ressors de la pièce, Sophie m'attend de pieds ferme. En me voyant, elle sourit, fière de sa création. Elle me demande de m'asseoir sur le lit et sort sa trousse de maquillage. Mes lèvres deviennent elles aussi roses, Sophie m'applique un peu de mascara. Une fois, mon visage, arrangé comme elle, l'entend, elle sort de notre valise un petit collier rose. Celui-ci doit peut-être faire 3 centimètres de hauteur, une petite boucle un acier trône devant et sur les côtés, est brodé le mot "girl" en doré. Je me retourne, soulève mes cheveux qui tombent sur mes épaules, pour lui dégager mon cou. Un clitique résonne, signe que je ne pourrais pas enlever le collier par mes propres moyens. Sophie s'éclipse à son tour dans la salle de bain et en revient habillée. Elle porte une robe en latex noir qui part de ses épaules et arrive à ses genoux. Elle tourne sur elle-même devant moi pour me montrer sa tenue. Je ne peux lui dire qu'elle est simplement magnifique dans ce vêtement. Elle sourit, satisfaite de ma réponse. Elle me désigne une paire de talons noirs que je me précipite d'enfiler. Nos paires de talons mises, Sophie s'approche de moi, elle me pose sur le lit, pose sa main sous mon menton et lève ma tête.

- Prête Sylvie ? Me demande-t-elle.

- Oui Maîtresse ! Affirme-je.

Elle attache une petite laisse à l'anneau de mon collier et tire dessus pour me relever direction l'Exposition Universexe. Quand nous rentrons à l'intérieur, nous tombons sur un couloir d'hommes et de femmes, leurs jambes sont écartées, mettant à la vue de tous leurs orifices. Leur vu est maqué par des masques noirs. Au-dessus de chacun, une pancarte indique "Free-Use". Nous ne nous attardons pas longtemps dans cette étrange entrée et prenons la direction des stands. Un homme s'approche de ma Maîtresse et l'interpelle :

- Excusez-moi madame, mais votre soumise est très jolie. Un sourire moqueur s'affiche sur le visage de Sophie.
- Ha oui ? Vous trouvez, c'est très gentil de votre part ! Sylvie, tu pourrais au moins le remercier ! Elle accentue la fin de sa phrase avec un regard de tueuse, qu'instinctivement, je comprends ce qu'elle attend de moi.
- Merci Monsieur. Dis-je de ma voix la plus efféminée possible.

L'Homme repart sans demander son reste. Sophie me propose alors un petit jeu, si d'autres personnes viennent me voir en me faisant ce même compliment, je devrais lui faire une petite gâterie pour les remercier. Devant ma réticence à peine voilée, Sophie change de ton. Finalement, ce n'était pas une proposition. Nous reprenons notre marche et arrivons devant un stand de chasteté. Sophie s'arrête net et commence à discuter avec le vendeur. Il se présente comme un artisan spécialisé dans la chasteté. Sophie s'intéresse de plus en plus. Elle me tire vers elle et soulève ma jupe devant l'homme.

- Vous voyez, j'aimerai, qu'elle porte quelque chose d'un peu plus compacte.
- Vous avez raison madame, dites moi sa taille au repos et je peux vous en faire une avant la fin de la journée.
- C'est vrai ? Elle fait 6 centimètres au repos. Je vous doit un acompte monsieur ?
- 6 centimètres ? Très bien ! Oui, je vais vous demander de payer 100 euros tout de suite et 100 euros tout à l'heure, si cela vous convient.
- Parfait Monsieur. Sophie paye, salut le commerçant et nous reprenons notre visite.

Je suis un peu désemparer par ce qu'il vient de se passer. Elle n'a même pas hésité, ne m'a pas consulté non plus et m'a exhibé sans me prévenir. Un nouvel homme s'approche dangereusement de nous. Sans surprise, il annonce à Sophie que je suis très belle. Ma maîtresse me regarde avec les gros yeux. Je suis pris au piège. Je m'agenouille, m'approche de l'homme qui est à peine déstabilisé, je baisse sa braguette et une verge tendu en sort comme s'il savait ce qui allait se passer. Je prends son sexe dans ma bouche et commence les allers-retours. Je ne l'avais jamais pratiqué sur un vrai sexe, toujours sur des sextoys. Après plusieurs va-et-vient, je sens son pénis se contracter et se décontracter comme s'il allait j... Je n'ai pas le temps de finir ma pensée que quelque chose de liquide rentre dans ma gorge. L'homme se retire, et je tente de recracher son sperme, mais Sophie, mais sa main devant ma bouche me forçant à avaler la semence du monsieur. Le goût est écœurant à en vomir, mais il faut croire que je n'ai pas ce droit, alors je retiens le haut de cœur et me concentre pour qu'il passe. Sophie me relève et je la suis à marche forcée. La journée est longue, Sophie me fait tester toute sorte d'objets sexuels, des œufs vibrants aux fouets tout y passe. Je suce peut-être six personnes, dont un Anglais, car ils m'ont complimenté sur mon charme de jeune fille.

C'est le cul-rouge, que nous revenons voir le marchand de chasteté. Il montre à Sophie la cage. Elle sourit, ce qui n'annonce rien de bon pour moi. Elle me fait venir et nous suivons l'artisan à l'abri des regards. Sophie libère mon pénis et me montre son nouvel habitacle. Une petite cage en inox avec une tige. Je frémis de peur, car je pense avoir compris. Sophie me sourit tendrement et caresse ma joue. Elle se met à niveau de mon pénis et commence à insérer la tige dans mon urètre. Je me retiens de ne pas crier de douleur pendant que la tige continue d'avancer. Puis soudain un clique. Le cadenas chatouille le bas de mon ventre. Je regarde mon entre-jambe et à la place de mon pénis, un petit bouton en acier de peut-être 2 centimètres d'épaisseur. Sophie se jette sur mes lèvres et m'embrasse tendrement.

- Bravo Sylvie ! Murmure-t-elle avant de reprendre le baiser.

C'est donc ça ma future vie ? Être à son service ? Ce n'est peut-être pas plus mal.