Le sorcier et les loups : Triste passé

Chapitre 15

- Cultiver en plus d'être doué en combat, impressionnant. Sourit le sorcier d'un aire moqueur. Mais en effet ca me parait bien pour un petit lycan.

- Tu croyais que les loups était tous des gros bras sans cervelles ?

- Ce n'est pas moi qui le dit. Ajouta innocemment le rouquin, les paumes ouvertes, et bras levés, taquinant le plus jeune. 

Nat leva les yeux aux ciel dans un sourire amusé.

- Enfin tu peux comprendre mon étonnement, après tout ce prénom n'est plus beaucoup connu. L'histoire surnat n'en as gardé qu'une mince trace. Quand à l'histoire humaines c'est comme si il n'avait jamais existé.

- C'est mon père qui m'as appris tout ce que je sais sur lui, il me racontais son histoire avant que je m'endorme tout les soirs sans exception.

Intrigué le sorcier arqua un sourcil. Ils étaient rare ceux qui connaissaient ce nom et ce roi mais ceux qui connaissaient son histoire l'étais encore plus, peut être une poignée de personne dans le monde. Beaucoup d'entre eux était comme lui des immortels, alors un loup qui connaissait ce roi...

- Ton père, il appartenais au groupes du Pantheon d'Appolon ?

Interrogea le sorcier qui s'avait pour en avoir fait parti, que ce groupe regorgeait d'homme enfin surtout de surnat qui tenais en hautes estime la connaissance et nottament celle de l'Histoire.

- Oui. Je me doutais que tu connaissait ce groupe. Mais ce n'est pas comme ça que tu auras des informations sur moi. Le loup marqua une pause un aire confiant collé à son visage, avec un soupson d'amusement dans les yeux.

- Je sais que tu en as cherché.

Avoua le jeune loup, plutot amusé par cela. Nottament avec la réaction de surprise du rouquin.

- J'aurais essayé. Répondit le sorcier démasqué. Eric t'a tout raconté ?

- Oui mais il n'en avait pas vraiment besoin, je m'en doutais d'avance.

Vaux mieux ne pas etre son ennemis songea un instant Armael, devant le sourire calculateur du plus jeune. En y réfléchissant meme ce sur quoi il s'était ouvert n'en apprenais pas plus que ce qu'il avait pu dévoiller de lui meme. Il avait la certitude que meme s'il faisait des recherches sur un Wyatt il tomberait au maximun sur un avis de disparition surement dans les mêmes circonstance que le petit Silas. Choses qu'il avait déjà deviné au vu de la cituation. Des marques similaires sur le corp de l'alpha, celui de son bras droit ainsi que des deux louveteau. Des connaissance du loup sur cette organisation dont lui même n'avait jamais entendu parlé. Et même la blessure du jeune Timothy qui ne s'était pas de suite refermé, le sorcier imaginait très bien que ces drogues pouvait avoir des effets secondaire ce, même sur les génération suivantes. Il avait déjà compris que l'alpha aussi avait vécu ce que ces enfants on vécu, et surement d'autres membres de cette meute, ce qui explique la haine qu'on lui vouait. Il n'était pas dupe, meme si beaucoup de chose lui échappait, comme ce loup qui semblais être près à en découdre avec Nat. Il avait directement sentis la tentions alors qu'ils étaient revenue du commissariat un corp de plus sur les bras et deux blessé à soigner. Ce lycan aurait pu lui parraitre sympathique, avec son cardigant long tricoté, ses cheveux long à la thor, en train de discuter avec Julius les bras croisé, si ce dernier n'avait pas dirigé un regad noir sur lui et sur Nat. A y regarder il avait compris que la discussion qu'il avait avec Julius semblé plutôt houleuse et tendu. Leurs arriver y avait mis un termes prématuré avant que l'un ou l'autre entende raison. L'alpha lui avait alors demandé si il pouvait s'occuper des blessés avec sa soeur et un jeune loup métis qui lui semblais encore plus jeune que le brun, ses cheveux bouclé qui lui tombaient presque dans les yeux dont une mèche coloré d'un bleu électrique et son sweat au nom d'une équipe de sport y était pour beaucoup. Ils avaient emmené les deux blesser dans la maison principal à l'aide d'un sort et lorsque le groupe de l'alpha les rejoignit quelques temps plus tard le faux thor aux regard noir n'était pas parmis eux. Il se douté qu'il s'était passé quelque choses. Avant qu'il ne puisse supposé quoique ce soit, la voix du brun le tira de ses pensées.