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Depuis qu'il avait reçu cet appel Jason était devenu bizarre. Elle regretta d'avoir ignorer les signe et préférer garder le silence.

- Attend le Morten? Mais la police de Brooklyn l'a arrêter.

- D'après les dernières nouvelles c'était une mise en scène. Il a donné des pots de vin.

- Je suis désolée d'avoir fait une scène.

- Ce n'est pas de ta faute. Tu ne pouvais pas savoir. Tout ce que je veux c'est assurer ta protection. Je ne veux pas qu'il arrive de mal à ma copine.
Il ajouta en l'attirant dans ses bras.

- Tu veux bien le redire s'il te plaît?
Elle minauda d'une petite voix.

- Quoi? Que je veux assurer ta protection?
Il ajouta d'une voix moqueur en prenant possession de ses lèvres.

- Mets ton jogging. J'ai une idée.
Il claqua ses fesses d'une tape. Elle sursauta.

****

- Serre bien tes poings et vise. Protège tes organes vitaux.
Il enseignait à la jeune femme pendant qu'elle frappait le sac à poings.

- Concentre toi sur ton objectif. Dis toi que tu n'as personne. Que tu es seule.

- Avec toi c'est plus facile parce que tu as... La douleur.
Elle ajouta d'une voix essouffler le corps dégoulinant de sueur. Cela faisait une demie heure qu'il l'entraînait dans son gymnase privé.

- Oui j'ai la douleur et toi qu'est ce que t'as?
- J'ai rien.
Elle continua de frapper.

- Alors bats-toi .
Il l'encouragea.

- C'est ça ma belle.
Elle frappa vite et fort. Le taux d'adrénaline monta en elle ses bras étaient fatigués elle ne s'arrêtait pas, elle n'entendait pas la voix de Jason qui l'appelait. Elle sentit un clip entre ses veines.

- Aïe.
- Bébé ça va?
Bébé c'était nouveau pour elle. Il l'appelait rarement par ces surnom il se contentait de juste l'appeler soit par son nom ou Al pour faire court.

- Oui... Je me suis emportée sur mon rien.
Elle enleva ses gants lorsque Jason toucha sa main elle grimaça un peu.

- Ouais tu t'es emporter sur ton rien.
Il affirma d'un léger sourire.
- Viens je vais te mettre de la glace et te faire un bandage.
Cinq minutes après il revenait avec une quitte de secoure et un sachet de glace. Elle le regardais faire tout en essayant de calmer les palpitations de son cœur. Elle se retenait pour ne pas se jetter sur ses lèvres. Peut être que Sally avait raison se disait-elle toute les fois ou ça avait fini dans le lit.

- Arrêt de me regarder comme si tu allais me sauter dessus.
Il ajouta toujours concentrer sur ses tâches comme si c'était la chose la plus naturelle au monde.

- C'est un sacré coup de poing que tu a mis tout à l'heure.

- Dis que j'ai eu le meilleur des entraîneurs.
Il éclata de rire en jettant la tête en arrière.

- On va s'arrêta là. Le boxe n'est pas ton truc.

- J'ai été si nulle que ça.
Elle fit la moue.

- Pas du tout ; dans ton cas tu dois juste viser ses bijoux de famille. Et prendre la fuite.

- Ce sont les tiens que je vais viser et rester.
En glissant sa main dans son short ,son membre était déjà dur. Elle se demandait depuis quand il était si excité alors qu'il ne laissait rien paraître. Elle continua a faire les vas-et-vient lent et rapide. Il poussa un juron qui resta dans sa gorge lorsqu'elle porta son membre a ses lèvres. Cette sensation qui le fait toujours sentir comme des fourmillements au bas dans son ventre.

- Attend... pas... Ici... Pas ici.

- On est... Cheul chéri.... Chi tu penses que quelqu'un pourrait nous voir... C'est ce qui le rend... Encore plus excitant.
Elle disait sans s'arrêter.

- Putain Aleyna tu me rends dingue.

- Ch'aime comment tu prononce mon nom. Tu veux.. que je m'arrête?

- Non.
Il arriva a dire dans un supplice. Les dopamine libéré dans son corps voulais crié tant de choses. Il l'aimait et voulu le dire. La dernière personne avec qui, il l'avait dit n'y était plus. Mais elle le savait parcequ'il le prouvait chaque jour, il le disait avec son regard, il le disait lorsqu'il prononçait son nom.

Elle regardait ce corps endormi, ses traits étaient dissimulé. Il paraissait en paix. Elle se regardait dans le miroir clouer au plafond en se disant qu'elle ne pourrait plus le cacher plus longtemps. Elle poussa le drap pour aller dans la douche sur le réveil sur le chevet indiqua qu'il était à peine huits heures. Ils avaient passé la nuit à faire l'amour et a discuter. Un mois depuis que Morten ne s'était plus manifesté. Elle enfila un jogging et une casquette, elle vivait assez longtemps dans cette maison pour connaître tous les coins secrets. Avant de sortir elle laissa une note sur son oreiller.

- Toc toc...
Le visage de Morten paraissait devant lui. Il sursauta dans son sommeil passant une main dans son visage pour faire disparaitre son cauchemars. Dehors le soleil baignait dans le ciel. L'oreiller qui se trouvait à côté de lui était froid. Il déplia la petite feuille qui était dans le lit.

Il y a une boulangerie français à moins d'un kilomètre de la maison j'ai grave envie de croissant. Je ne serais pas long.
Bisous ❤️

Il se leva en enfilant une short sans faire attention avec ses torses nus. Il dévala les escaliers cherchant sa blonde le cœur battant. Et si son cauchemars était une mise en garde elle ne pourrait pas disparaître.

- Bonjour monsieur.
Lui salua Roberta la femme de chambre. Il l'ignora pour aller dans la cuisine. C'était l'une de ses endroit préféré parce qu'elle aidait toujours Luisa la nouvelle cuisinière à préparer ses plats. Ou plutôt elle adorait écouter les histoires de cette italienne.

- Madame n'est pas descendu ce matin monsieur. Elle n'a même pas pris su prima colazione (petit déjeuner)
Elle répondait d'un accent italien.

- Monsieur sa voiture n'est pas dans le garage.
Annonça Luis d'un air désolé.

- Vous n'aviez qu'une seule chose à faire, la surveiller, vous...
La sonnerie de son téléphone lui coupa, il manqua de s'effondrer au sol lorsque le numéro apparaissait. Il le connaissais par cœur et il avait fait exprès ne pas le masqué.

- Devine qui a un parfum doux comme la lavande.

- Si jamais tu la touches.

- tss... Tss.. tu connais déjà le mot de passe, viens seul, et pas de flic il faut qu'on discute.
Il raccrocha.
- PUTAIN
S'énerva Jason en cognant le téléphone contre le mur, celui-ci part en quelque morceau
- Monsieur...

- Si jamais il lui arrive malheur je te jure que je te defoncerai tellement la gueule que tu ne te reconnaîtra plus. Maintenant grouille toi j'ai besoin d'un nouveau portable.

Folle de lui [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant