La clé de son âme

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Oui, il connaissait son frère et il préférait la colère d’une petite Iris que de son frère. Il l’aimait et s’inquiéter pour sa femme. Il expliqua tout, le magasin et malheureusement leur départ. Axot avait l’air vexé. Iris était toujours allongé sur le sofa et Atos lui caressait les cheveux. Axot alla fumer une cigarette nerveusement et déçu. Ares le rejoint et prit une cigarette également.

Axot : Vous auriez dû me le dire !

Ares était étonné de sa nervosité.

Ares : Je ne savais pas qu’elle voulait aller dans le magasin, je ne connais pas cette femme.

Axot :Je ne parle pas de ça !

Il le regarda étonné.

Axot : Atos et toi êtes frères et je sais que je bosse pour toi mais…

Il prit une bouffé de cigarette et la recracha.

Axot : Vous êtes ma famille et moi je suis…

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase, Ares mit sa main sur son épaule.

Ares : Notre frère. Tu es notre frère.

Axot fut étonné, jamais Ares ne lui avait dit cela.

Ares : Tu es la seule personne en qui j’ai confiance à part Atos. La seule.

Axot : Alors pourquoi…

Ares : Tu te souviens de Massimo ?

Axot : Comment oublié la vermine.

Ares le regarda et Axot comprit.

Axot : Oh non.

Ares : On part au Mexique dans deux jours.

Axot : Ok.

Ares : Toi, tu restes ici avec elle.

Il fût étonné.

Axot : Attends quoi ? Non !

Ares : Si, je pars avec Atos et il faut que quelqu’un la protège.

Axot : C’est une mauvaise idée.

Ares mit sa main sur son épaule.

Ares : Écoutes, Atos doit venir avec moi et il ne peut avoir confiance en personne à part toi. Tu comprends?

Axot n’était pas d’accord mais il acquiesça.

Ares : Ce n’est qu’une question de jours. On part maximum une semaine. D’ailleurs, on doit aller en ville pour faire des courses. On a une mission.

Il fronça des sourcils et ils partirent tous les deux. Atos regardait sa bien aimé endormie. Elle lui en voudrait, il s’en voulait déjà de devoir partir. Et surtout la façon dont elle l’avait appris. Il l’avait posée sur son lit et la regardait, elle papillonna des cils et ouvrit les yeux. Il s’approcha doucement d’elle ne sachant pas comment elle allait réagir. Elle s’assit et le regarda. Il lui fallut quelques secondes pour se souvenir. Elle le regarda en fronçant les sourcil et se leva.

Iris : Pourquoi tu veux partir ?

Il eût de la peine et s’approcha d’elle mais elle mit sa main pour qu’il ne s’approche pas plus.

Atos : Agàpi je ne veux pas partir.

Iris : Ha bon ? Alors pourquoi tu ne m'as rien dit et pourquoi tu pars d’ailleurs ?

Atos : Calmes-toi je…

Iris haussa le ton.

Iris : Je suis calme !

Atos : Écoutes, je ne veux pas partir mais je n’ai pas le choix. Mon frère a besoin de moi, ce n’est qu’une question de jours. Je reviendrai pour le mariage.

Elle le regarda étonnée.

Iris : Le mariage ? On a pas de date.

Il s’approcha doucement.

Atos : Dans une semaine.

Elle le regarda surprise.

Iris : Je… Je ne comprend pas.

Il mit ses mains sur ses épaules.

Atos : Agàpi, je veux que tu sois mienne dés mon retour du Mexique.

Iris : Mais… Comment tu vas faire ? On n’aura jamais le temps d’inviter toutes tes connaissances…

Il lui sourit, son sourire si séduisant.

Atos : Ça m'est égal, c’est toi et moi, seulement toi et moi.

Iris : Attends, tu… Tu ne veux pas de réception ?

Atos : Si, mais juste nous, mon frère et Axot. Je n’ai besoin de personne d’autre. Une petite réception entre nous.

Iris fût touchée, elle savait qu’il faisait cela pour elle.

Iris : Est-ce que c’est vraiment ce que tu veux ?

Il colla son front au sien.

Atos : C’est toi que je veux.

Elle inspira puis le regarda les sourcils froncés, elle se recula.

Iris : Je suis censée t’en vouloir ! Tu me fais ton regard craquant ! C'est pas juste !

Il se mit à rire et la prit par la taille, il la colla à lui.

Iris : Je t’aime tellement, c’est une torture d’être séparé de toi.

Elle mit ses mains sur sa nuque.

Atos : Ne m’en parles pas. Embrasses-moi.