La clé de son âme

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Ares : Sa va allais, ils lui font des examens.

Il regarda iris .

Axot : Sa va ?

Elle acquiesça et dévia son regard vers Jude. Quand Axot la vit à l’écart, il pris sa main et la dirigea vers eux, il garda sa main dans la sienne et Jude en fut étonné. Quand elle vit Iris pleurer, Jude s’approcha d’elle et la pris dans ses bras.

Jude : Je suis sur que sa ira.

Iris : Merci d’être la.

Quand le médecin arriva plusieurs heures après, il expliqua qu’il avaient de grosse migraines mais qu’un traitement de fond adapté l’aidera. Et en cas de crises un autre traitement lui sera donner. Il faillais évité les sources de stress. Iris compris que pour qu’il aille bien, il fallait qu’elle lui parle ou du moins qu’elle ne l’ignore pas. Car même si elle lui en voulais toujours, elle ne voulais pas le voir souffrir et tout les mois ou elle le croyais mort était un supplice. Elle ne voulais pas de nouveau vivre cela. Ares sortie de la chambre dépité. Iris se leva et s’approcha de lui.

Ares : Il ne veux toujours rien manger.

Axot : Mais tu lui ouvre la bouche de force et lui enfourne…

Jude : Non mais sa va pas bien c’est pas un canard.

Iris : C’est bon je vais y aller.

Ares : Tu est sur, je ne veut pas que tu te force.

Elle mis sa main sur son épaule.

Iris : Sa va.

Elle entra dans la chambre, Axot avait les yeux clos. Il était allonger sur son lit d’hôpital et le plateau qu’il y avait sur la petite table était toujours remplis. Elle s’approcha doucement.

Atos : Inutile d’insisté je ne mangerais pas j’ai envie de vomir.

Elle s’assied sur le lit.

Iris : Je ne crois pas que tu est vraiment le choix.

Il ouvrit les yeux, choqué qu’elle soit la. Iris pris une cuillère et mis de la purée à l’intérieur.

Iris : Assit toi pour manger.

Il s’assit mais ne pouvez la quitter du regard. Elle mis la purée devant sa bouche mais il ne l’ouvrit pas.

Iris : Fait un efforts.

Atos : Je ne me sent pas bien.

Iris : Je sais mais tu peut le faire pour moi ? Juste un peut.

Comment refusé. Il mangea trois ou quatre cuillère, elle le vit grimacé.

Iris : Sa va ?

Atos : Je vais vomir.

Attend, elle chercha et vit un haricot, le genre d’objet qui ressemble a un haricot et qui sert au patient à vomir dedans. 
Atos attendit en grimaçant. Elle avait de la peine pour lui.

Iris : Je vais chercher une infirmière.

Atos : Non ! Reste avec moi…

Iris : Très bien.

Il attendit comme ça un petit moment, Iris garda sa mains dans la sienne, il pouvais la serrait mais cela ne lui était pas douloureux. Elle s’inquiéter pour lui. Il se rallongea quand la nausée passa.

Atos : Désolait pour ça.

Elle lui sourit.

Atos : En faite, désolait pour tout.
Il s’endormi, il avait l’air si paisible. La marque qu’il avait sur le visage lui fit de la peine. Savoir qu’il avait était torturé était affreux pour elle. Ils avaient une seconde chance. Elle n’allais pas passé son temps à lui en vouloir non ? Dans sa situation qu’aurait-elle fait ?

***