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Hello mes saucisses de dinde, j'espère que sa va pour vous.
Ici pas génial voir même pas génial du tout. C'est l'hiver les douleurs sont la et la dépression et plus forte. Mais ne vous inquiétez pas c'est comme ça chez moi. Un moment sa va un autre moment non. Heureusement que je lis vos commentaires parfois très drôle.
Je sais que beaucoup d'entre vous ont envie d'étrangler Axot et je comprends compliqué n'oubliez pas qu'il y a plusieurs type de dépression et la colère fait parfois partie de ça. J'ai un peu essayé de mettre les types de dépression les plus "connus".




Deux semaines passèrent très lentement. L’état d’Iris était stable. Plusieurs examens furent fait et aucuns d’eux ne déclaraient qu’il puisse y avoir une complication ou un autre arrêt cardiaque. Iris ne souhaitait voir qu'Axot. Elle réalisait doucement que Atos était vraiment là.

Iris : Je n’arrive pas à croire ça, j’ai encore du mal.

Axot s’assît sur le lit d’hôpital et lui prit la main.

Axot : Je sais, j’ai du mal aussi.
Elle le regarda et eût de la peine pour lui.

Iris : Il est… Toujours devant la porte?

Axot : Oui, rien ne le fera partir d’ici de toute façon. Ares a essayé mais il ne bouge pas.

Iris : Ares n’est pas mieux.

Elle remarqua dans les yeux de son ami de la tristesse voir même de la déception. Elle se sentait trahie. Mais lui, ça devait probablement être plus difficile. Il était le bras droit d'Ares depuis de nombreuses années.

Iris : Est-ce que tu sais pourquoi ?

Axot : Pour ça, il faudrait que je leur adresse la parole.

Elle inspira.

Iris : Et Jude, elle a réagi comment?

Axot : Elle la giflé, et tellement fort que ça m'a surpris.

Iris : C'était mérité en même temps.
Axot lui sourit.

Iris : Tu déteint sur elle, tu devrais rentrer et te reposer un peu.

Axot : Non, je ne bouge pas d’ici.

Iris : Tu vois que ça va, le médecin me laisse partir dans trois jours.

Axot : Je sais, mais je reste et je partirai d’ici en même temps que toi.

Iris : J'espère au moins que Jude ne t’en veut pas de rester avec moi au lieu d’être avec elle.

Axot : J'en doute.

Iris : Tu en doutes mais tu n’es pas sûr.

Axot : Je ne vois pas pourquoi elle m’en voudrait, elle va bien.

Iris : D’accord.

Quand elle se rendormit, Axot sortit de la chambre et s’assit sur le banc. Jude était là et lui sourit, il s’assit près d’elle et regarda nerveusement Atos et Ares qui étaient face à lui. Jude tendit à Axot un café, il le prit et en but une gorgée.

Axot : Il est froid.

Jude : Oh, je n’ai pas fait attention.

Axot lui rendit, elle le prit, puis se leva pour le jeter, sous le regard d'Ares qui ne cautionnait pas.

Ares : Tu aurais pu le jeter toi-même non ?

Axot le regarda en fronçant des sourcils.

Axot : En quoi ça te regarde.

Ares : La politesse, tu connais ? Ou c’est optionnel chez toi ?

Axot se mit à rire.

Axot : C’est toi qui va m’apprendre à me comporter avec ma femme. Toi, le menteur?

Jude se rassit mais se mit plus loin.

Jude : Arrêtez, ça va.

Axot se leva et lui cria dessus.

Axot : Ne te mêles pas de ça !

Ares se leva à son tour.

Ares : Parles-lui autrement.

Axot : Tiens donc, tu veux me donner des cours ?

Il s’approcha d’Ares, qui ne bougea pas et ne semblait pas effrayé le moins du monde.

Ares : Un petit rappel te ferait pas de mal.

Axot prit Ares par le col, Atos se leva et Jude se précipita vers Axot. Elle lui prit le bras pour le calmer mais en voulant l’en empêcher, il fit un geste et elle tomba sur le sol. Ares poussa Axot et aida Jude à se relever.

Ares : Ça va ?

Axot le poussa.

Axot : Elle va bien !

Il la regarda.

Axot : Tu devrais rentrer.

Elle avait le regard au sol.

Jude : Oui, c’est une bonne idée.

Ares : Je te raccompagne.

Axot : Certainement pas.

Ares le regarda nerveusement cette fois-ci.

Ares : C'est assez simple, soit tu raccompagnes ta femme, soit tu restes ici.

Il serra les poings.

Axot : Si je pars, Axot va aller la voir et elle ne le veut pas !

Jude baissa les yeux, ce n’était pas étonnant. Ares était écœuré par le comportement de son ami. Ne voyait-il pas dans quel état était Jude ? Ils partirent tous les deux et Axot s’assit sur le banc quand il entendit.

Atos : Grosse erreur.

Il leva les yeux.

Ares : Qu’est-ce que tu dis ?

Atos : Je viens de dire que tu avais fait une grosse erreur en la laissant partir au lieu de l’accompagner.

Axot se mit à rire.

Axot : Parce que tu croyais vraiment que j’allais te laisser ici avec elle ? Pour que tu profites d’aller la voir ?

Atos : Tu n’as pas l’air de comprendre. Je ne ferais rien sans son accord. Je n’ai pas essayé d’entrer et je ne forcerai pas non plus.

Axot le regarda en fronçant les sourcils. Il savait que ce qu’il disait était vrai.

Atos : Elle pensera toujours qu' Iris passera avant elle.

Il se leva nerveusement.

Axot : N’importe quoi !

Atos : Inutile de sortir les crocs. Ares t'a demandé de choisir, et même s'il n’aurait pas dû le faire, tu as fait ton choix. Tu veux protéger Iris et c’est ce qu’on attendait de toi, mais tu as une femme et si tu ouvrais un peu les yeux, tu remarquerais que ça ne va pas.

Axot s’assit. Il bouillonnait intérieurement sans vraiment savoir pourquoi. Mais ce qu’il savait en revanche, c’est qu’Atos avait probablement raison. Un silence de plusieurs minutes s’en suivit quand :

Axot : Pourquoi ?

Atos inspira et comprit sa question.

Atos : Tu te souviens de Massimo?

Axot : Bien sûr, quelle pourriture.

La clé de son âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant