Tention palpable.

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Arsonn

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Arsonn.

Aujourd'hui je dois faire un entraînement avec Cartez , on doit aller en forêt , s'entraîner à tirer au sniper. Elle est très douée pour tirer avec un flingue mais avec un sniper je n'en suis pas si sûr.

J'avance vers sa chambre et entre directement , celle-ci est à moitié nue dans son lit. La couverture est posée seulement sur sa poitrine que j'imagine dénudée , et en bas elle porte une lingerie rouge mais pas n'importe laquelle. La mienne.

- BLACKFORD TOQUE BON SANG !
S'énerve-t-elle.

- Quoi , tu ne vas pas mourir si je vois t'es petits seins de gamine.

Et bordel d'un seul coup celle-ci se lève , son bras cachant le plus possible sa poitrine qui , vu maintenant n'a rien d'une poitrine de gamine.
Merde. Ma main se pose sur mes yeux laissant apparaître seulement un sourire narquois sur mes lèvres.

- Des seins de gamine ? Alors comme sa le gros bolosse bande sur des petits seins.

Et bordel , elle a raison. J'ai la teub dure comme un poteau.

- Réaction normal de la part d'un homme Cartez. Ne crois pas que j'ai envie de toi, d'une gamine. Je peux résister.
Dis-je la main toujours sur les yeux.

- Réaction d'homme ? D'accord. Alors garde sagement ta main sur tes yeux pendant que je vais me changer devant toi. Voyons si tu résiste à sa Arsonn.

Elle veut me buter bon sang ?!

- Mets une tenue ou tu seras à l'aise , on va tirer au sniper.

Elle lâche un petit bruit que je prends pour un oui. 
Toujours devant la porte les jambes raides comme une statue la main sur les yeux j'attend qu'elle attrape sa tenue.
(Nda: Y'a pas que les jambes qui sont raides🤭)

Le bruit de ses pas vers moi se font entendre , le bruit des stras de son string grattants contre le sol , ses mains se posant sur mes épaules. Je la sens se baisser et d'après se que je comprend enfiler sa culotte, agrafer son soutif , mettre son pantalon puis son teeshirt. Le bruit de ses talons qui tapent sur le sol me fait frissonner.
Sa main se rapproche de la mienne et la retire de mes yeux. Elle est devant moi , vêtu d'un jean en cuir noir et d'une manche longue de la même couleur recouverte par une veste cuivrée elle aussi. Pendant de longue secondes nos yeux sont bloqués les un dans les autres , ses yeux océan dans les miens tornade.

- On peut y aller le chieur.
Fini-t-elle par lâcher.

Je lui adresse un doigt d'honneur avant d'avancer vers ma chambre.

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