Une mafieuse du nom de Mafélya Cartez l'une des femmes les plus puissante du pays veut faire tomber son père , un homme horrible et violent.
Elle serait prête à tout pour se venger et combattre ses démons. Même s'allier avec l'ennemi.
Elle n'a qu'...
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Arsonn.
Assis sur une chaise, leur connard de chef est ligoté.
- Alors , qu'est-ce que vous foutez là ? Demandé-je.
Miller lève la tête fièrement et ne répond pas , mon point se loge donc dans son ventre. La chaise recule de quelque millimètres, signe que mon coup étais assez puissant.
- On va réessayer, j'ai tout mon temps, qu'est-ce que vous foutez là ?!
Et voilà qu'il recommence , est-il vraiment en train de me sous-estimer ,moi, Blackford. Mon poing se loge dans sa mâchoire forçant la chaise à reculer un peu plus. Je jure que si elle arrive contre le mur je tue cet enculer.
- Crois-moi, je te ferai souffrir jusqu'à que tu me répondes. Pourquoi est-ce que tu voulais Cartez !
Miller me montre sa mâchoire déboité en guise d'excuse alors , de ma main droite je l'attrape et la remet à sa place pendant que lui, pousse un cri de douleur.
- Je voulais Cartez pour la ramener à son père , si il voyait que nous l'avions sauvé il aurait eut une faveur à nous accorder.
- Je vois.
Mon point se loge dans ses côtes. Il crie encore une fois.
- Miller je sais tout , tes trafiques , tes sources , tes aides je connais tout. Et je connais aussi l'emplacement de t'as très chère fille. Il ouvre grand les yeux. Alors tu vas m'écouter attentivement, tu ne vas pas dire un mot de tout sa. Est-ce clair ?
Miller hoche la tête.
- À quoi tu t'attendais en venant ici sérieusement.
Je m'avance un peu plus de lui, sors mon téléphone de ma poche et je lui montre les caméras du bâtiment de sa fille un sourire narquois aux lèvres.
- Une gaffe de t'as part et elle saute. N'essaie même pas de la changer d'emplacement , je le saurais. N'oublie pas qui je suis Miller
Cette phrase...
- Oui Blackford.
Une fois détaché Miller prend ses jambes à son cou malgré sa cote cassée , je penses qu'il a dû avoir la trouille de sa vie.
Mes pensées se redirigent vers la petite femme sur mon canapé et quand j'arrive au salon celle-ci n'y est plus , mes pieds avancent d'eux même vers sa chambre , j'entend l'eau couler signe qu'elle est sous sa douche. Je vais l'attendre sur son lit. Mes fesses se posent sur le matelas qui révèle une odeur de miel enivrante, mes yeux inspecte la chambre d'ami maintenant recouverte d'affaires féminines. Puis, des bruits de pas me sortent de mes pensées et quand Mafélya débarque en lingerie rouge je ne sais plus où donner de la tête.
- Bordel ! Arsonn !
Ma tête se tourne dans la direction opposée d'elle.
- Bon sang je rêve , est-ce que tu as vraiment tourné la tête ?
Sa question me surprend , mais j'aime l'a taquiner alors:
- Je préfèrerais te voir en sous-vêtements parce que tu en as envie mon ange.
Je peux deviner même la tête tournée le petit sourire narquois scotché à sa bouche .
- Dans tes rêves les plus fous Blackford.
Le bruit de ses pas se rapprochent de moi et d'un seul coup , je sens son ventre et ses seins contre mon dos , son bras se tend au dessus de mon épaule et elle attrape les vêtements devant moi. Pour être honnête je ne l'ai avait même pas vu.
- Tu permettra, je reviens tout de suite dans une tenue comment dire , plus appropriée.
Un sourire se forme sur ma bouche et j'entends le bruit de la porte se claquer.
***
- Arsonn ? On ne doit pas sortir se soir ? Lâche Mafélya revenue en jogging , je suis quand à moi sur le canapé. Je me rend compte que c'est enfaite la première fois que je la vois dans une tenue décontractée et sa lui va très bien , le jogging tombe sur ses hanches et son haut court laisse apparaître son ventre et sa taille. Se midi nous avons mangé ensemble et bordel pour une fois je ne savais pas quoi dire et quoi penser à part elle dans sa lingerie.
- Oui en effet , mes cousins organisent une soirée se soir. Mais comment es-tu au courant Cartez ?
- Je sais toujours quand il y a des fêtes Blackford , on part à 21: 30, prend des petits trucs à manger on dînera dans la voiture.
J'hoche la tête et regarde ma montre , 20h50. J'ai intérêt à me dépêcher. Je me dirige alors vers ma chambre , j'entre dans ma salle de bain et laisse tomber mes habits , maintenant nu j'entre dans ma douche. L'eau chaude coule sur mon corps et mes cheveux , j'attrape mon shampooing et en applique sur tout mon cuir chevelu, la lumière de ma salle de bain est tamisée, seule les reflets des leds autour de la douche éclairent celle-ci. Une fois fini , j'enfile une chemise noire s'accordant parfaitement à mon pantalon de la même couleur. Mes cheveux encore légèrement mouillés goute sur ma chemise rendant quelque endroit légèrement tachés. Ma chaîne pend sur mon cou pendant que mes mains se baladent dans mes cheveux pour les coiffer, plaqués en arrière une mèche retombe sur mon front. J'applique une crème sur mon visage et rase les petites repousses, mon parfum dans la main j'en applique sur mon cou et mes cheveux , une fois la peau bien lisse et les cheveux bien coiffés je repars dans le salon. Assis sur le canapé , j'attend que l'autre conne descende.
Ma main se faufile dans ma poche pour récupérer mon téléphone, 21:25. Elle a intérêt à se bouger. Je reçois un message de mon cousin me disant que mon oncle sera là , parfaite occasion pour moi de récupérer MA putain de bague. Les fêtes et réunions de famille c'est pas trop mon truc alors j'essaie de respirer et de me calmer car je sais qu'au moins une fois dans la soirée ma main finira sur la gorge d'un des membres de ma famille , Mafélya ou dans le meilleur des cas sur le cou d'une femme nue pour oublier cette désastreuse soirée. Le bruit des talons de Mafélya me sortent de mes pensées , je fixe les escaliers attendant de voir comment celle-ci est vêtu. Des talons noir à la semelle rouge commence à apparaître, puis laisse ensuite apparaître deux mollets, puis deux cuisses, et pour finir son corps et sa tête. Merde.
Elle porte une robe noire moulant parfaitement ses formes , un décolleté plongeant qui me donne envie de mis noyer malgré moi , ses cheveux noirs sont reparties en de belles boucles et ses yeux, étirés par un trait de liner estompé , ses lèvres pulpeuses recouvertes d'un rouge sanglant qui lui donne un air sur d'elle. Elle est malheureusement sublime. Et elle fini de me surprendre en beauté, quand elle se tourne dos à moi pour récupérer son sac et laisse apparaître le dos de la robe , complètement dos nue, elle s'arrête juste au dessus de son coccyx laissant apparaître un tatouage sur toute sa colonne vertébral ou y est inscrit : « Even the devil was an angel in the beginning » autrement dit. Même le diable était un ange au début.
