Cache-cache.

333 17 12
                                    

Arsonn

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Arsonn.

Je me pose la question , qu'est-ce que Cartez a fait à sa fille ? Quand elle parle de lui la haine traverse ses yeux , la folie prend place sur son visage angélique , ses yeux de la couleurs d'un océan paisible se transforme en un tsunami puissant et destructeur, est-ce qu'il l'a brisé comme il m'a brisé ? Lui a t'il détruit la vie comme il a détruit la mienne ? A t'il remplit ses mains d'ange de pêchers comme il me l'a fait faire ?

***

Il est actuellement 8h je viens de sortir de la douche , une serviette autour des hanches je me dirige vers mon dressing, j'attrape un pantalon noir et une chemise blanche que j'ouvre légèrement , ma chaîne prend place sur ma peau apparente et les manches de ma chemise sont retroussées.
Je me dirige vers la cuisine mais des coups de feu se font entendre. Fait chié c'est quoi ce bordel ! Si tôt le matin ?

Je m'avance vers la porte d'entrée et y voit le corps d'un de mes hommes au sol , une balle entre les deux yeux. Merde. Qu'est-ce qu'il se passe ! Mes deux doigts se penchent pour retirer la balle dans le crâne de l'homme « Miller.H »
Bordel on se fait attaquer ! Mais putain je comprend rien !

Mon cœur se mets à taper fort dans ma cage thoracique et la , je fais le lien.
Les Miller et les Cartez sont deux cartels soudés, ils ont du savoir que la fille de Arnold était là. Merde. Merde. Merde.
Je cours à toute allure avant d'arriver jusqu'à la chambre de Mafélya , je pousse la porte et celle-ci dors paisiblement sur son lit , je verrouille la porte à clé et choppe une arme , les coups de feu se font entendre , mon téléphone vibre et je reçois un message d'un de mes hommes , pour le moment nous avons le dessus mais se qu'il veulent se ne sont pas des armes ni de la drogue mais Mafelya , il faut protéger Mafélya.

Soudain celle-ci se mets à gigoter et à hurler , ma main se pose sur sa bouche pour éviter qu'elle ne fasse trop de bruit et quand ses yeux s'ouvrent je sens son cœur battre jusqu'ici, à ce moment je ne comprend pas se que je fais , j'agis par instinct. Mes bras se sont enroulés autour d'elle et sa tête est posée contre mon torse , des larmes roulent sur ses joues et son corps tremblant semble pour la première fois faible devant moi. Je ne l'ai jamais vu aussi vulnérable.
Putain.

- Mafélya , il va falloir qu'on se lève et qu'on aille se cacher toi et moi d'accord ? Inspire profondément je vais t'aider.

Elle hoche la tête toujours tétanisée, bordel de quoi a-t-elle cauchemardé, quoi que se soit je penses que les coups de feu n'ont pas aidés.

Cartez est maintenant appuyée contre moi, je m'avance pour entrer dans la penderie.
J'entre sans réfléchir et elle me suit. Nous finissons collés l'un à l'autre , nous sommes si près que je sens son souffle chaud caresser mon cou. L'endroit est étroit et ses cheveux ainsi que ses robes m'atterrissent dans la geule.
Le son des personnes marchant sur le sol s'entend tellement bien que sa en est angoissant et les coups de feux résonnent.   
Je sors mon téléphone et appelle mon bras droit en l'informant que je ne pourrais pas les aider , celui-ci acquiesce et répond qu'il les tuera un à un de ses mains.
J'aime cet homme. 

Alliance.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant