Une mafieuse du nom de Mafélya Cartez l'une des femmes les plus puissante du pays veut faire tomber son père , un homme horrible et violent.
Elle serait prête à tout pour se venger et combattre ses démons. Même s'allier avec l'ennemi.
Elle n'a qu'...
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Mafélya.
Mais qu'est-ce que c'est que se bordel ?
- Ou.est.ma.putain.de.bagnole ! S'énerve Arsonn.
La place de parking est vide sous nos yeux. La place normalement recouverte par une Bugatti. Arsonn tourne sa tête dans tout les sens. Un bruit de voiture se fait entendre.
- C'EST MA PUTAIN DE BAGNOLE , JE LA RECONNAÎT. On veut nous provoquer, c'est sur.
Il devient fou bon sang.
- Suis moi Élya.
Qu'est-ce qu'il va faire encore. Arsonn se penche sur une moto devant nous, attrape les fils et les trifouilles. La moto s'allume dans un bruit sourd.
- Finissons notre soirée en beauté princesse.
Princesse... Je ne cherche pas à riposter et m'assoit derrière Arsonn. Mes mains agrippent le siège et Arsonn commence à avancer.
- Je te conseille de ne pas faire ta gamine et de te tenir à moi, vu à la vitesse ou je vais rouler c'est mieux. Dit-il en me tendant son flingue. Tu sais se que tu as à faire mon ange, crève ma bagnole..
Mes bras se mettent soudainement à trembler , j'hésite. Pourquoi son contact me fait me sentir si, timide mais vivante. Mes bras s'enroulent finalement autour de sa taille. Arsonn regarde le traceur de sa voiture biper sur son téléphone et nous, nous nous dirigeons vers se point rouge lumineux. Arsonn démarre et en effet celui-ci roule à une vitesse folle, prenant les virages extrêmement serrés. Les ruelles sont petites, si petites qu'on ne pourrait pas passer à 3 côte à côte. Elles sont aussi effrayantes, le genre de rues ou une femme seule sans arme n'aimerai pas traîner. Les murs sont fissurés et recouvert d'un vieux gris moche. Arsonn tourne dans une rue, identique au précédentes et la voiture apparaît devant nous, le conducteur nous remarque, celui-ci appuie décidément assez fort sur la pédale pour nous semer. Le con peste pendant que mes cheveux atterrissent de plein fouet dans mon visage.
- Je vais prendre une ruelle on va être face à ma putain de bagnole. Tiens toi prête à tirer !
Blackford roule désormais aussi vite qu'il le peut. Le vent me propulse vers l'arrière mais ma main gauche tient fermement le haut d'Arsonn, mes ongles sont tellement plantés à l'intérieur que je pourrais presque atteindre et déchirer sa peau. La main droite en l'air, j'attend que la bugatti se présente devant nous. Il tourne d'un seul coup dans un chemin et manque de me faire basculer sur le coté. Son bras retient mon corps dans un réflexe rapide.
