Une mafieuse du nom de Mafélya Cartez l'une des femmes les plus puissante du pays veut faire tomber son père , un homme horrible et violent.
Elle serait prête à tout pour se venger et combattre ses démons. Même s'allier avec l'ennemi.
Elle n'a qu'...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Mafelya.
On est le lendemain, je me sens, assez bizarre. Se qu'on a fait hier c'était, vraiment fou, mais j'ai adoré sa ! Je ne veux qu'une chose, ses mains de nouveau sur mon corps bouillonnant. Mais j'ai cette boule à l'estomac, cette sensation que tout sa n'est qu'un rêve, qui va finir par se terminer, j'ai un putain de mauvais pressentiment. J'attrape mes chaussons et remet correctement ma chemise de nuit, le chignon qui tient vulgairement mes cheveux menace de tomber d'une minute à l'autre alors je le resserre. Je passe une marche après l'autre avant d'arriver dans le salon, Arsonn dors comme un bébé, c'est d'ailleurs étrange, lui qui se réveille si tôt. Il est déjà 10h, j'espère qu'il n'est pas mort. J'entre dans la cuisine mais tout est déjà près, des crêpes et des pancakes posés à côté d'une brique de jus d'orange, et quand je me retourne je percute une chemise de nuit bleu et un torse vachement dur, son parfum emplit mes narines et je me déteste de penser sa mais, tout va mieux d'un coup. Je lui souris et pars m'installer sur une des chaises.
- Salut toi. Bien dormis ?
- Salut. Comme un bébé, merci pour le déjeuner et de ne pas m'avoir réveillé en partant pisser.
Il ricane et me fixe longuement, et comme si il pouvait voir le fond de ma pensée il lance.
- Ça va, enfin tu- tu n'as pas l'air bien. Est-ce que tu regrettes ?
Je le regarde avec incompréhension mais soudain la petite ampoule s'allume au dessus de ma tête.
- Non, non je ne regrettes pas Arsonn, j'ai pris la décision de te laisser faire, ce n'est pas pour regretter juste après.
Il me sourit timidement et je poursuis.
- C'est seulement que, j'ai un mauvais pressentiment. Je croque dans un pancake remplit de sirop d'érable. Je sais pas je- hummmm c'est super bon ta merde ! Dis-je en montrant le pancake à moitié dans ma bouche. Il ricane et me fait signe de poursuivre. C'est seulement que j'ai, cette boule à l'estomac, je sens que quelque chose de mauvais va arriver.
Arsonn s'approche de moi et tend sa main, son pouce récupère le peu de sirop d'érable qui a coulé à côté de ma lèvre et porte son pouce à sa bouche.
- Je suis sûr que non, tout est parfait.
- Comme toi princesse. Dis-je en imitant sa voix, il me regarde et me montre son majeur avant de porter sa main à mon cou.
- Quoi, tu n'aimes pas que je t'appelle comme sa ?
Connard ! Il a totalement retourné la situation ! Mais j'ai toujours le dernier mot, ou la dernière action.
- Je n'es jamais dis sa.
Mes lèvres se posent alors juste à côté des siennes et il souffle contre ma bouche que c'est de la triche. Je l'écarte de moi et étale du chocolat sur ma crêpe.
