diciannove(₁₉)

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Lorenzo hurle sur moi

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Lorenzo hurle sur moi.

- NE ME TOUCHE PLUS JAMAIS COMME ÇA, TU OUBLIES QUE TA VIE EST ENTRE MES MAINS, IL NE TIENT QU'À UN BOUT DE FICELLE TRÈS FINE.

Il me prend par le bras, cela me fait mal. Il m'entraine vers le balcon, il prend mon visage pour que je regarde par-dessus le balcon.

- TU ME FAIS ÇA ENCORE UNE AUTRE FOIS, TON CORPS FINIRA EN DESSOUS.

Toute façon, j'allais mourir. Je ne veux pas mourir. Je dois m'enfuir.

Il part et me laisse sur le balcon toute seule. Je vais m'enfuir, ce soir.

Le soir, je fais des petits pas. J'avance vers la porte qui amène au jardin. J'arrive à escalader la clôture. BINGO, je suis enfin dehors. Je cours quelques minutes pour m'assurer que je suis loin du danger. Je commence à marcher. Je vais pouvoir rentrer chez Rodrig. Je commence à voir une maison. Je cours vers la petite maisonnette et je toque.

- Ai...aide m..oi.

Il ne semble pas trop comprendre, mais avec les répétions, je crois qu'il a fini par comprendre. Ils appellent la police. La police me ramène dans un commissariat, je pensais que j'étais sauvé. Je suis resté des heures et des heures.

– Oui, monsieur Romano Ferretti.

Oh non, s'il vous plaît, ne me dites pas.

- Elle se trouve ici, monsieur Romano Ferretti.

Je ne veux pas, je ne veux pas. S'il vous plaît seigneur. Il rentre, mais reste appuyé sur le bord de la porte. Son téléphone n'arrête pas de sonner et il le regarde et le remet dans sa veste. Il lâche un rire nerveux

- Tu croyais vraiment d'échapper aussi facilement?

Je n'arrive pas à le croire, pourquoi. Il s'approche de moi et il me dit :

- Même si tu vas voir tous les départements de police, la même chose se répétera. Je vais te dire clairement, la seule chose qui pourra te séparer de moi, c'est la mort, mais bonne chance puisque ta vie aussi est entre mes mains.

Il se gratte l'arrière de sa nuque.

- LÈVE-TOI.

Je sursaute, mais il a raison, je suis condamné et je ne peux rien y faire avec ça. Mon corps ne m'a jamais appartenu. Je le suis vers sa voiture et nous montons dedans.

Je vois la maison, je ne voulais pas voir cette maison. Quand nous rentrons.

- TU AS VRAIMENT CRU POUVOIR T'ÉCHAPPER.

Je commence à pleurer.

- QUE DOIS-JE FAIRE DE TOI EN ATTENDANT, COMMENT TE FAIRE COMPRENDRE QUE TU NE VAS JAMAIS POUVOIR T'ENFUIR LOIN DE MOI.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 16 ⏰

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Son corps qui ne lui appartient pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant