AIGUILLE DANS LE COEUR

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LISSANDRO

- Oui j'ai gagné ! Je suis la meilleure, la plus jolie, la plus intelligente. J'ai oublié quelque chose ?

- Non. Non je crois que tu as fait le tour.

Dit Ezio en jetant les cartes sur la table. je le vois glisser sur la chaise ce qui montre tout son mécontentement. Je continue de discuter par message avec mon père tout en prêtant une oreille attentive à ce que Ezio et Celeste raconte.

- J'ai mené ma petite enquête le clan dans bas ne posera plus aucun problème. Ils sont tous morts.

Je redresse immédiatement la tête vers Celeste en oubliant totalement la discussion avec mon père.

- Morts ? 

J'hausse un sourcil fasse au parole de Celeste.  Mon portable vibre mais je n'y fais pas attention.

- Oui les gars sont aller vérifier. Ils sont tous morts. Apparemment ce serait une meuf qui les aurait tous tuer. Mais honnêtement je pense surtout qu'ils sont tous retournés en Russie.

Mon sang ne fait qu'un tour. Mon téléphone vibre pour la deuxième fois.

Un trafique pareille ne disparaît pas du jour au lendemain et encore moins si, le business fonctionne.

Mais honnêtement actuellement, mes pensées se dirigent vers Ivanna. Seule avec le monstre qui lui sert de sœur et le monstre qui la manipuler toute sa vie. J'ai mal de la savoir seule avec eux.

- Ils arrivent dans combien de temps ?

S'adresse Celeste directement à moi.

Ça va faire trois heure depuis que Niko m'a appelé et je n'ai toujours pas de nouvelles ils sont injoignables ce qui m'irrite fortement.

Le téléphone de Celeste se met à vibrer sur la table au même moment. Chacun de nous se regarde.

Celeste finit par se dépêcher de saisir son portable.

- Pronto. (Allô.)

Son regard est perdu dans le vide, elle se mets à froncer les sourcils et une panique s'immisce en moi sans que je puisse la contrôler à l'idée que quelque chose leur est arrivé.

- Ok à plus.

- Alors ?

Ce précipite Ezio.

- Faut que je leur ouvre le garage.

- Et c'est pour ça que tu tirais cette gueule ?!

- Bah oui ! Il me font bouger mon cul.

Je lève les yeux au ciel, de désespoir face à leur conversation.

Mon téléphone vibre pour la troisième fois. Je replonge dans la conversation avec mon père en ignorant le fait que Ezio et Celeste se dispute sur qui va ouvrir le garage.

«Luciano : Ta présence est nécessaire. »

«Luciano : Tu te dois d'être la.»

«Luciano : Fait un effort, s'il te plaît fiston.»

«Moi : Ma présence n'a rien de nécessaire. Si elle est la je ne serais pas la.»

«Luciano : Fiston j'ai été assez patient avec toi. 5 ans que tu n'as pas poser ton cul dans cette maison. alors toi et les autres vous avez intérêt à être la. De plus ont doit parler de ce qui se passe en ce moment.»

J'éteins mon portable, cela ne sert à rien de débattre avec mon père. Cela n'a jamais servi à rien, j'en viens à me demander si il s'en rend compte.

VIOLET ET NOIR (en réécriture) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant