VIOLET ET NOIR (en réécriture)

COMPROMIS

- S'il te-plait ?! sors-moi de la ! tu m'as dit que j'avais le choix. s'il te plait. criais-je de pleins poumons.

Les larmes m'empêchent de parler et de respirer correctement. J'avais le choix mais pourquoi moi j'aurais le droit à la liberté et pas eux ?

Donc j'ai refusé de les torturer. Constantin s'acharne de plus en plus sur moi.

Être enfermé dans ce minuscule cajibi est la pire chose, il sait que je suis claustrophobe et j'ai de plus en plus du mal a respiré, la panique commence à me prendre, je respire de plus en plus fort.

Le bruit de la porte s'ouvre brusquement, je sens une odeur de bruler, quelque chose de chaud se rapprocher de moi.

- Non pa- , s'il te plait tous sauf ça, ... je ne pleur...erais plus et je te promets que je ne cri...erais plus s'il te pl-

Il me force à le regarder torturer des personnes et je reconnais cette odeur. Quand j'obéis pas, il s'amuse à me faire du mal il me dit que ça me fera changer d'avis dans le futur, mais aujourd'hui il a choisi autre chose que la ceinture ou les poing.

- Tais-toi ! est ce que je t'ai demandé de parler ? NON ! qu'est ce que je te dis tout le temps ?

De ne pas pleurer et crier, mais ces mots restèrent coincés dans ma gorge. Je suis effrayée et ça il le sait très bien et il en joue.

- Iva !? dépêche-toi de répondre je perds patience et tu sais ce qui arrive quand je perds patience !

Ce surnom ést signe d'ennuis avec lui. C'est là que j'ai su, j'ai su que je n'y échapperais pas.

- De ne... pa..s cri....er et ne pas pleu...rer.

- Voilà, donc on est d'accord pour dire que ce qui vas t'arrivé et de ta faute ?

Il a raison tout ça et de ma faute, j'ai compris, la prochaine fois je m'occuperaient d'eux.

Mon corps se soulève dans un sursaut. De la sueur perle sur ma peau. Cette douleur, je ne la ressens rien qu'en repensant à cette nuit. Mon débardeur et mon jogging me colle à la peau, voilà pourquoi je préfère ne pas dormir pour éviter ce genre de situation.

Ma faute.

Ma faute.

Ma faute.

Inspire Ivanna, et expire.

Mon corps se balance pendant que je prends ma tête entre mes mains.

Un rêve juste un rêve qui est plus un cauchemar qu'autre chose.

Mon regard se dirige vers l'horloge.

Mon coeur loupe un battement lorsque je vois qu'il est déjà 20 heure.

Il faut que je me dépêche heureusement que j'ai dis que je m'endormirais qu'une heure. Je sors de ma chambre et longe le couloir.

Sans m'en rendre compte je me heurte à un corps.

- Excusez-moi.

J'ai la tête complètement ailleurs, mes yeux tombent dans ceux de Vann. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui s'excuser autant que lui.

- Oh Vann je ne vous avez pas vu c'est à moi de m'excuser.

Son visage à l'air comme effrayer.

- Vous allez bien mademoiselle ?

C'est sûr que mes cheveux doivent être en pagaille. Je suis encore toute transpirante de mon cauchemar, je me sens un peu gêné d'être devant lui dans cet état. Il ne traîne généralement jamais dans ses couloirs.