Amitié

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Heya,ça fait longtemps non ?

Jesais que rien ne pourras vraiment excuser mon absence, mais j'ai eubeaucoup de problèmes personnels depuis la Toussaint, et j'ai perdula motivation d'écrire (pour être complètement honnête avec vousy'a aussi des jours ou j'avais vraiment la flemme d'écrire et toutce qui c'est passé n'arrangeai rien), mais tout va bien maintenant,je suis de retour et je compte bien finir cette fanfiction !

Surce je vous laisse avec ce chapitre, bone lecture !

(ps :si il n'y a pas d'espace entre certains mot, j'en suis désolée,j'ai un bug et je ne sais pas comment le résoudre)

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Errorétait allongé sur son lit, fixant le plafond d'un regard vide,une poupée de fils dans la main, une aiguille dans l'autre. Il levason bras pour admirer cette fameuse poupée, simple, sans trait duvisage ni habits, une banale poupée quelconque dont l'identitén'avais été révélée par aucun trait physique particulier. Justeune simple poupée, qui attendais patiemment qu'on la personnalise,comme une toile vierge qui attend d'être peinte.

Prenantet mettant ses lunettes qui reposaient jusque la sur la table dechevet, il entrepris de coudre les yeux, puis les vêtements, le toutsans vraiment vouloir donner une identité précise à la poupée. Ilvoulais juste se détendre, sans pour autant laisser son espritdivaguer, et la couture était pour lui le meilleur moyens d'entrerdans cette phase de « détente concentrée ». Un loisirsimple et minutieux à la fois, qui ressemblait assez au caractèredu destructeur : on pense que c'est simple, puis plus on décided'apprendre a connaître cette activité, plus on en découvre lacomplexité.

Defil et en aiguille, la poupée, sensée ne représenter personne enparticulier, pris pourtant l'apparence du peintre, auquel Error nepouvais s'arrêter de penser, malgré tout ce qu'il pouvais endire, et tout ce qu'il pouvais faire pour s'en empêcher.

Depuisles événement qui c'étaient produit plus tôt dans la matinée, lavision du visage sans émotion de l'artiste, d'habitude si joyeux etplein de vie, le hantait encore, et il ne pu retenir une unique etlégère larme qui vins s'écraser sur son coussin, imbibant a peinele tissu du liquide salé et emplis de tristesse et de regret, àl'instar de son propriétaire.

Coupantcours aux pensée du bug et au silence qui s'était installé dans lapièce, brisé régulièrement par le tic-tac incessant de l'horloge,des coups frappés à la porte retentirent dans la chambre.

Manifestementagacé de recevoir de la visite maintenant, le glitch espéra que siil ne disait rien, l'importun s'en irai, croyant qu'il n'y avaitpersonne dans cette pièce plongée dans la pénombre. Hélas, et auplus grand désarroi de notre cher bug ambulant, une voix derrièrela porte signifia que la personne n'avais aucune envie de partir.

-C'estmoi.

Errorleva enfin les yeux de sa poupée de fil, et se décida enfin aprendre la parole, témoignant de sa présence au perturbateur del'autre côté de la porte.

Error-C'est qui "moi" ?

Lapersonne pris une grande inspiration et dit, d'une voix qui exprimaitsa réticence a prononcer ces deux mots, et pourtant qui laissaitsubtilement montrer que ce surnom l'amusait plus qu'il ne voudraijamais l'admettre :

-Lepoulpe...

Letentaculaire en question entendis de légers éclats de rire glitché,bien que toujours empreint de tristesse, et pris ça pour uneinvitation à rentrer. La chambre du bug était sombre, froide, et laporte à présent ouverte apportant de la lumière fut un légerréconfort pour Error, mais aussi la crainte de sortir de sa chambre,et de se confronter au regard haineux et plein de reproche des autresétudiants se transforma en une boule qui enserra sa cage thoracique,l'empêchant de respirer partiellement. Cette même bouled'angoisse qui disparut quand le noiraud ferma enfin la porte,aillant sûrement sentit le mal être de son meilleur ami.

Haine, amitié ou amour ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant