Les Couloeuvres : un cœur détruit

Ma Umy

Je me réveilla au petit matin, avec Ahmid au près de moi qui dormait tel un ange... J'alla au toilettes me débarbouiller et vint faire ma prière.

Après cela je jetta un œil sur mon téléphone et vit le message de néné, je lui répondis aussitôt. On aurait dit qu'elle attendait sur son téléphone.

Néné : allô

Moi: alors comment ça été ?

Néné : tsssuuiiippp, c'est tout ce qui t'intéresse

Moi: hahaha bien sûr... Comment tu vas alors ?

Néné : à part la douleur, le reste ça va

Moi: OK, j'étais occupée hier

Néné : ce n'est pas grave, je ne t'ai même plus raconté ce que j'avais à te dire, tellement le mariage m'occupait

Moi: c'était quoi, je t'écoute

Néné : tu sais quand baba avait accepté d'accorder ma main à ben

Moi: oui

Néné : en faite la même nuit, j'ai attrapée sa femme et sa sœur, genre vers 02h ou 03h bien habillées, on aurait dit qu'elles voulaient sortir

Moi: OK mais qu'est ce qu'il y a d'étrange à ça ? Tu sais que c'est son sport favoris d'aller chez les marabouts

Néné : je sais, mais j'étais sur mes gardes, parce que plutôt en journée elle m'avait dit "qu'elle ne me laissera pas faire"

Moi: quoi ? cette femme se croit tout permis et pourquoi ce n'est que maintenant que tu me dis ça ?

Néné : ohhh, bref après j'ai fais mine d'avoir perdue le sommeil, je suis allée visionner juste pour l'empêcher de réaliser son plan

Moi: à coup sûr elle partait pour gâter ton mariage... Tu as bien fais

Néné : pourtant je tombais de sommeil, ce jour, j'ai seulement forcée et cette nuit hadjara était avec moi

Moi: on dirait que cette petite fille connaît le mauvais fond de sa mère

Néné : moi j'en suis sûre et je t'avais dis qu'elle avait passée toute la nuit dehors avec moi, le jour que sa mère m'avait punit ?

Moi: non, non... C'est vraiment une bonne fille, dis moi tu l'as appelée pour lui annoncer ta réussite ?

Néné : que je n'ai rien faire!!! Et je ne veux même pas qu'elle m'appelle, même si elle le fait je ne prendrai pas son appel

Moi: justement, elle fera son hypocrisie habituel

Néné : bon umy je te laisse

Moi: OK bye

Ahmid: bonjour

Moi: bonjour... Tu es debout depuis longtemps ?

Ahmid: non mais j'ai suivis que tu traitais quelqu'un d'hypocrite

Moi: hummm

Ahmid: ma umy je sais que ce n'est pas mes histoires mais je te conseillerais de libérer en toi ta haine envers les autres ; ça ne fera que te rendre amer

Moi: ehhh je ne t'ai rien demandé, rhabille toi et vas t'en

Ahmid : ho calmos !!! Et contrôle ton langage

Moi: je t'ai dis de dégager de chez moi

J'alla vers lui avec toute la rage que je pouvais avoir en moi, je me mis à lui donner des coups, je ramasse ses vêtements et les lui balança "arrêtes ça" dit il, mais je ne l'écoute pas... Je ne sais comment et quand mais je sentis ma joue s'enflammer, Ahmid venait de me donner un gifle.