𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐨𝐮𝐳𝐞: 𝐔𝐧 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞́

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- Caroline: c'est bon, vous l'avez ?

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- Caroline: c'est bon, vous l'avez ?

- Louise: oui rassurais-je aussitôt la petite blonde en sortant de mon sac à main le sachet en papier blanc et vert que je remuais sous son nez. À priori, personne ne s'est posé de questions concernant notre disparition matinale étant donné que nous leurs avons ramené des confiseries pour le petit-déjeuner. Théo et Mathieu ont simplement cru à un acte de charité de notre part.

- Adèle: exactement approuvait ma meilleure amie. D'ailleurs, ils ne sont pas vraiment futés ces deux-là, mais nous n'allons pas nous en plaindre. Grâce à cela, nous avons réussis à te ramener deux tests de grossesses sans éveiller les soupçons.

- Caroline: deux tests ? Ça fait beaucoup, non ? Enfin... un seul aurait suffit, je pense.

- Adèle: on est jamais trop prudent, ma belle. Par moment, les tests peuvent être faussés à cause d'un dysfonctionnement. Au moins, si les deux tests affichent la même réponse, nous serons certaines du résultat.

Petite mine sur le visage, encore terrorisée de l'engouement qu'il y a autour de sa santé actuelle, Caroline laissa enfin sortir un long soupire d'entre ses lèvres, s'affaissant un peu plus contre la cuvette de mes toilettes. Les jambes repliées sur eux-mêmes, emprisonnées de ses bras et tête posée contre ses genoux, notre amie s'apitoyer déjà sur son sort en marmonnant des mots presque incompréhensible.

- Caroline: ...pas envie...

- Louise: sans vouloir vous offenser, les filles, je tiens simplement à préciser que Jordan dort encore dans la pièce d'à-côté, et que nous sommes pile dans ses créneaux de réveils. Donc...

- Adèle: Louise a raison, il ne faut surtout pas tarder. Nous ne pouvons plus faire machine arrière, maintenant.

Pour accompagner les paroles de la brune, Adèle et moi nous empressons de défaire nos gros manteaux que nous posons à la va vite sur le sol après avoir enfin tendu le sachet à Caroline. Puis, sans aucune gêne, cette dernière abaissa son pantalon de pyjama ainsi que sa culotte jusqu'à ses chevilles pendant que nous prenons place face à elle, à même le carrelage.

Après notre petite conversation entre filles de la veille, nous avons décidé d'un accord commun de ne pas perdre plus de temps concernant cette histoire de grossesse. Personne ne voulait rester dans le flou trop longtemps, il était donc primordial pour nous trois de connaître le fin mot de l'histoire afin de proposer des services adéquats à la blonde.

C'est ainsi que nous nous retrouvons à se cachées comme des voleuses dans ma salle de bain de ma chambre, alors qu'un danger potentiel prénommé "Jordan" dormait encore dans notre lit, bouche entrouverte. Je ne disais trop rien à cela, parce qu'il était tout de même évidement que nous n'allons pas faire ces tests dans les quartiers de Caroline, au risque de tomber sur le potentiel futur papa. Puis, Théo étant actuellement entrain de prendre sa douche, j'étais le dernier recours.

𝐑𝐢𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐮𝐬 - 𝐉𝐨𝐲𝐜𝐚Où les histoires vivent. Découvrez maintenant