𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐧𝐠𝐭: 𝐃𝐢𝐧𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐝𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬

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𝖯𝖺𝗌 𝗏𝗋𝖺𝗂𝗆𝖾𝗇𝗍 𝗌𝖺𝗍𝗂𝗌𝖿𝖺𝗂𝗍𝖾 𝖽𝖾 𝗅'𝖾́𝖼𝗋𝗂𝗍𝗎𝗋𝖾 𝖽𝖾 𝖼𝖾 𝖼𝗁𝖺𝗉𝗂𝗍𝗋𝖾, 𝗆𝖺𝗂𝗌 𝗃𝖾 𝗏𝗈𝗎𝗌 𝗅𝖾 𝗉𝗈𝗌𝗍𝖾 𝗊𝗎𝖺𝗇𝖽 𝗆𝖾̂𝗆𝖾...
𝖡𝗈𝗇𝗇𝖾 𝗅𝖾𝖼𝗍𝗎𝗋𝖾 !

- Lia: tata, est-ce que je peux goûter un bout de ton burger, s'il te plaît ? Munit de ses adorables yeux doux, ma nièce de quatre ans tentait tant bien que mal de me soudoyer, ses deux mains jointes entre elles dans une posture de supplication

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- Lia: tata, est-ce que je peux goûter un bout de ton burger, s'il te plaît ? Munit de ses adorables yeux doux, ma nièce de quatre ans tentait tant bien que mal de me soudoyer, ses deux mains jointes entre elles dans une posture de supplication. Le tiens a l'air trop trop trop bon !

- Louise: je suis vraiment désolée, petit cœur une moue cependant triste sur le visage, je fus obligée de refuser sa demande à contre cœur. mais il y a beaucoup de piment dans mon hamburger, et tu n'as pas le droit d'en manger. Tu te rappelles, la dernière fois tu es devenue toute rouge et ça te brulait très fort la gorge. T'en rappelles-tu, Lia ? Les bras croisés contre son buste, boudeuse, la petite fille hochait la tête comme unique réponse. Je n'ai pas envie que tu retombes malade de la sorte.

- Lia: oh, mais... j'en avais vraiment envie, tata...

- Louise: je le sais, mon cœur mais pour le moment, ce sera toujours "non". Tu ne souhaites tout de même pas te transformer en tomate géante, j'espère ?

- Lia: non... en plus je n'aime même pas les tomates m'avouait la jolie blonde, son air toujours boudeur sur le visage. Mais tu sais que je suis une grande fille, quand même ? Je ne suis plus un bébé !

- Gabriel:  Lia, s'il te plaît. Tel le chevalier servant qu'il prêtant être, le blond vint à la rescousse. Arrête donc d'embêter tata Lou, et mange ton assiette. Sinon, pas de dessert pour toi, d'accord ?

- Lia: mais papa...

- Gabriel: il n'y a pas de "mais" qui compte, Lia sa grosse voix de père de famille dissuadait l'enfant de rétorquer plus qu'elle ne le faisait déjà. Une grande fille n'ai pas sensé faire de caprice de la sorte lorsqu'on lui dit "non" une première fois, je te l'ai déjà dit. Alors occupe toi de ton assiette au lieu de baver devant celles des autres, s'il te plaît.

- Johanna: ton burger est comme ceux que tu aimes, mon cœur une main sur l'épaule de mon frère aîné, sa petite-amie lançait un regard rassurant à sa belle-fille. Tu sais, ceux que tu prends dans ton Happy Meal lorsqu'on mange à MacDonald's. C'est super cool, tu ne trouves pas ?

- Lia: oui...

- Johanna: allez. Régale-toi, ma puce.

Comme pour lui montrer l'exemple, la belle-mère prit ses couverts en mains afin de déguster son propre repas: une jolie petite salade César. Et même pour moi qui n'étais pas forcément fan des légumes en général, son assiette débordante de salade me donnait terriblement envie ! Je me verrais presque faire de même, si je n'étais pas une bonne vivante qui aimait les aliments bien gras.

𝐑𝐢𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐮𝐬 - 𝐉𝐨𝐲𝐜𝐚Où les histoires vivent. Découvrez maintenant